OggConvert, la qualité en vaut-elle la chandelle ?
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Salut à toutes et à tous,
Comme vous le savez, le logiciel libre OggConvert, installé d'office avec Trisquel 6.0, permet de convertir notamment des fichiers mp3/wav/... en fichiers ogg.
Ma question repose sur l'une des options, celle de la "qualité". Par défaut, le curseur est sur 2.
J'ai converti un fichier wav. J'ai obtenu le wav sur le disque dur simplement en le copiant-collant (ctrl+c, ctrl+cv) d'un cd. Même pas eu besoin de Brasero ou de quelque autre logiciel libre pour ripper (?!). Le fichier wav fait 34.3 Mo.
Converti avec OggConvert en ogg avec qualité 2, le nouveau fichier ogg fait 2.5 Mo.
Converti avec OggConvert en ogg avec qualité 10, le nouveau fichier ogg fait 10.3 Mo.
Est-ce que cela vaut la peine de mettre le curseur sur 10 si je n'entends pas la différence de qualité ? Je ne fais que de l'écoute personnelle (écouteurs).
Peut-être que cela aurait son importance avec de gros ampli' dans une grande salle.
Salut Shokin
Je suis très pointilleux avec ce genre de chose.
Perso, je ne crois qu'au Flac qui est pour moi, le meilleur format de compression de fichier étant donné qu'il n'y a aucune perte (sans oublier le APE ou le Apple Lossless).
Tu n'entends pas forcément de changement ? Ceci est normal...
Selon ton âge, et plus tu vieillis, plus tu perds en capacité sonore. Cela se remarque quand tu passes d'une fréquence basse (20 Hz) à une fréquence haute (20 kHz, c'est à dire les fréquences que tu trouves sur un cd classique).
C'est justement dans ces fréquences hautes, celles que tu ne perçois pas forcément, que par exemple le Ogg ou le mp3 va enlever des fréquences pour rendre le fichier plus petit.
Sauf que... cette suppression de fréquence aurait (je dis bien aurait) une incidence sur les harmonies en général, bien que l'on ne s'en aperçoive pas.
À défaut de pouvoir l'entendre, autant le voir !!!
Je te conseille vivement Spek que tu peux trouver dans les logiciels dispo pour Trisquel.
Un excellent utilitaire pour vérifier le spectre de ce que tu peux télécharger sur le net ou ce que tu viens de convertir pour avoir une idée.
Il y a aussi Audacity pour certains trucs. Ce logiciel convertit aussi !
Si tu as bien compris, c'est un peu comme une image avec une très grande qualité que tu baisses progressivement avec Gimp.
Si tu as balancé le fichier original, tu ne peux plus revenir en arrière. Si tu agrandis, tu verras toujours les pixels et les défauts dus à la compression.
Le truc est de trouver un bon compromis entre la taille et la qualité que tu trouves acceptable pour ton style d'écoute.
Un grand écran HD a besoin d'un Blue Ray, pas d'une vidéo en 320x240.
Même chose pour la musique...
MP3 à 192 kbps pour me balader, Flac chez moi.
Il n'y a pas de grosses différences entre le Ogg et le Mp3 si ce n'est que le Ogg est un format libre.
J'aime pas trop les niveaux 1, 2 , 3... je ne comprends que le kbps...
http://www.comparatif-audio.net/
Va sur "compression destructives", tu comprendras...
Étrange, mais mon ORL m'avait fait remarquer que j'avais de très bonnes oreilles alors que je lui avouais me gaver de musique au casque.
Bonus, The Loudness War : http://www.youtube.com/watch?v=3Gmex_4hreQ
Une petite explication bien utile pour ne pas te faire avoir sur la qualité de certains remasters avant de les acheter légalement.
Si tu parles anglais, ce type a des vidéos excellentes sur la compréhension du son. En plus, il parle très distinctement.
Salut, Substance2004,
Merci pour ta réponse.
Oui, je comprends ta métaphore de la perte de qualité.
Avec Spek, le fichier de "qualité 10" a (presque) le même spectre que l'original, alors que celui de "qualité 2" a des couleurs qui ne vont pas plus haut que 17 kHz.
Le logiciel OggConvert peut convertir seulement en ogg, matroska ou webm.
Avec Audacity, logiciel libre auquel je ne me suis pas encore attaqué, on peut exporter vers bien plus de formats : aiff, wav, gsm, mp3, ogg, flac (celui dont tu parles notamment), mp3, m4a, ac3, wma.
En plus, flac est un format ouvert, ce qui me va bien. Mon idée actuelle est de ripper tous mes cd et de les convertir en un format ouvert. Alors maintenant, je peux mettre tous les morceaux en flac.
Au fait, puisque tu sembles t'y connaître en son, quels matériels et logiciels conseillerais-tu pour enregistrer des instruments acoustiques (toujours dans l'idée de créer des fichiers aux formats ouverts) ? Par exemple, si je veux enregistrer la voix, le violon, le piano, la guitare. Mais aussi si je veux filmer des paysages qui défilent, filmer une personne qui marche, filmer une personne qui joue du violon.
Bon, en tout cas, il me va falloir apprendre les différentes fonctionnalités d'Audacity.
Tu peux utiliser SoundJuicer pour convertir tes CDs en FLAC (ou autre). Il cherche par lui même sur MusicBrainz l'auteur, les titres, etc. Il y a, dans ses préférences, une case à cocher pour que l'éjection du CD soit automatique à la fin de l'extraction. Bref, ça va aussi vite que possible (ce qui est essentiel si tu as des centaines de CDs !).
L'ennui du FLAC c'est que ça peut rester gros (puisque sans perte aucune de qualité) pour ton lecteur portable. Il est alors utile d'avoir une autre application, comme SoundConverter, qui te permette de convertir en Ogg Vorbis (ou autre) tout un ensemble de fichiers FLAC (ou autre, y compris des vidéos) que tu glisses-déposes.
Bien sûr, SoundJuicer et SoundConverter sont dans les dépôts de Trisquel.
Merci, je vais essayer SoundConverter et SoundJuicer.
SoundConverter peut convertir en ogg, flac, mp3, wav ou "gnome audio profile". Il a l'avantage de pouvoir convertir un groupe de fichiers sélectionnés, contrairement à OggConvert, ou à Audacity qui ouvre autant de fenêtres que de fichiers.
SoundJuicer est pratique pour ripper les cd directement en flac.
Je n'ai qu'à peine une centaine de cd, mais des milliers de fichiers mp3. Bon, si j'ai bien compris, changer des mp3 en flac ne sert pas à grand-chose (d'autre qu'obtenir des fichiers en format ouvert) puisque les mp3 sont déjà de moindre qualité.
Une centaine de CDs va déjà te prendre un certains moment (car il te faut toujours les mettre/enlever du lecteur).
Il est en effet peu intéressant de convertir tes MP3. En FLAC tu perdrais de la place sans gagner de qualité. En Ogg Vorbis tu perdrais de la qualité.
Bon, je vais chronométrer le nombre de temps pour ripper mes cd directement en fichiers flac avec SoundJuicer. [Le renommage éventuel des fichiers viendra après.]
SoundJuicer gère le nommage des fichiers et des éventuels répertoires comme tu le souhaites. Vois ses "Préférences" dans le menu "Édition".
5 minutes 15 pour un cd de 16 fichiers (avec ordinateur en forme, et 8 Go de RAM).
Bon, pour un peu moins de 200 cd, ça devrait faire environ seize heures.
C'est la vitesse du lecteur CD qui limite la performance globale.
Avec Spek, le fichier de "qualité 10" a (presque) le même spectre que l'original, alors que celui de "qualité 2" a des couleurs qui ne vont pas plus haut que 17 kHz.
... Ce qui veux dire que les fréquences de 17 kHz à 20 kHz ont été enlevées. Mais comme je te l'ai dit, tu n'as rien entendu car tu ne les a pas perçues.
Bon, si j'ai bien compris, changer des mp3 en flac ne sert pas à grand-chose (d'autre qu'obtenir des fichiers en format ouvert) puisque les mp3 sont déjà de moindre qualité.
Cela ne sert ABSOLUMENT À RIEN... à part à prendre plus de place dans ton disque dur si t'as envie de perdre de la place.
EN REVANCHE... tu peux te renseigner sur le niveau de compression de tes MP3 si tu veux les mettre en format OGG avec VLC dans les informations sur le fichier lu et prendre exactement le même niveau de compression.
Ça devient un peu plus difficile quand c'est une compression variable que constante. Si tu as des fichiers que tu n'as pas toi même encodé, il faut les vérifier un a un pour être certain qu'il n'y en a pas un qui ai un niveau de compression différent des autres.
Bon courage !
5 minutes 15 pour un cd de 16 fichiers (avec ordinateur en forme, et 8 Go de RAM).
Tout dépend de l'état du CD et des options que tu as mises comme la "lecture paranoïaque" je crois qui prend plus de temps.
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quels matériels et logiciels conseillerais-tu pour enregistrer des instruments acoustiques (toujours dans l'idée de créer des fichiers aux formats ouverts) ? Par exemple, si je veux enregistrer la voix, le violon, le piano, la guitare. Mais aussi si je veux filmer des paysages qui défilent, filmer une personne qui marche, filmer une personne qui joue du violon.
Il ne s'agit pas de logiciels, il s'agit de micros.
Déjà, dans quel contexte vas-tu les enregistrer ???
http://www.youtube.com/watch?v=wK5D1jAVDrI
Une excellente vidéo du type dont je t'ai parlé qui t'explique les différents types de son que tu peux entendre avec tes oreilles dans la nature mais qui vont devoir être enregistrées et donc captées.
Même si ton anglais n'est pas très bon, tu vas vite comprendre !!!
Une autre sur le type de micro. Attends bien la moitié de la vidéo, c'est là ou tu vas vraiment comprendre pourquoi selon le micro tu n'as pas un bon résultat.
Les micros ont des type de capture...
http://www.youtube.com/watch?v=VVUhbkheHlQ
Tu as des vidéos sur You Tube sur la création audio... mais on oublie complètement l'acoustique qui est une véritable éducation.
Ce que d'autres musiciens ne font pas, ce type qui a fait ces vidéos et qui est aussi musicien a l'intelligence de le faire.
Et cela te sert même pour écouter de la musique chez toi.
Merci pour tes réponses. Je vais laisser les autres fichiers tels quels (ou certains mp3 changés en ogg).
Pour commencer, je pense enregistrer dans ma chambre (environ 5m * 5m * 5m). ;) Mais ça pourrait bien être dans la rue ou dans la forêt, la caméro et/ou le micro qui est immobile ou qui bougent (sur un vélo).
Est-ce que les caméras GoPro peuvent être munies de bons micros ?
L'idée serait alors d'enregistrer directement (si possible) au format flac les sons et bruits.
Mais, pour les vidéos, quel format ouvert et de qualité préconises-tu ? Par exemple si je filme une personne en train de jouer du violon et que je marche en tournant autour d'elle avec une caméra.
Quel convertisseur pour convertir des vidéos (mp4 par exemple) en un format ouvert ? et quel format ?
VP8 et VP9 (plus récent et bien plus long à encoder) sont, parmi les codecs vidéos matures et libres, ce qu'il se fait de mieux. Ils sont en général embarqués dans un conteneur WebM et lisibles par défaut depuis tous les navigateurs Web populaires (avec Internet Explorer, il faut installer quelque chose en plus). Il y a aussi Dirac qui n'a jamais vraiment pris et n'est donc pas un très bon choix pour la diffusion. Daala est censé être une merveille mais il n'est pas encore prêt.
La conversion entre formats avec perte (comme H.264 et VP8) se fait au détriment de la qualité. C'est le même discours que la conversion de MP3 vers Ogg Vorbis. Ceci étant, distribuer des fichiers dans des formats protégés par des brevets logiciel, c'est mal. Pour une conversion facile, tu peux utiliser Transmageddon (dans le dépôt de Trisquel).
"Est-ce que cela vaut la peine de mettre le curseur sur 10 si je n'entends pas la différence de qualité ?"
Chacun à une sensibilité différente à l'écoute et, avec l'âge (mais à mon avis, aussi, le manque d'entraînement, autrement dis, le fait d'écouter attentivement de la musique fait que le cerveau comprend un spectre sonore d'autant plus large dans ce qu'il perçoit naturellement, de plus, il remarque d'autant plus les détails.
Par ailleurs, la perte des hautes fréquence se remarque plus dans le ressenti global que dans la compréhension réel des notes harmonique de ces fréquences.
Je dis "harmonique" parce qu'aucun instrument de musique traditionnel n'a de note fondamental aussi haute, ce sont donc les harmoniques des notes fondamentales qui montent haut dans le spectre sonore (et par notes fondamentales, je ne parles pas de la tonique d'un accord, mais de chaque notes que les instruments jouent).
Pour donner un exemple marquant, quand on compresse un fichier à une très mauvaise qualité, ce qui sonne le moins bien, c'est la batterie et particulièrement les cymbales qui sont d'une part des instruments dont la note fondamental est assez aiguë, mais en plus dont les harmonique plus aiguës ont un volume relativement élevé par rapport à la note fondamentale, ainsi, les cymbales sonnent particulièrement mal quand on supprime les ondes les plus aiguës.
Une autre chose importante à dire, c'est que la limite de 20 hertz à 20000 hertz est des plus arbitraire, certains peuvent entendre jusqu'à 24000 Hertz environ, peut-être aussi que certains entendent les ondes un peu plus basse que 20 hertz, mais là, c'est plus difficile à dire puisque les infra-basses, on les ressent sans les entendre, et la limite entre le fait d'entendre et de ressentir n'est, si je ne me trompe, pas évidente à déterminer.
C'est pourquoi je suis un fervent partisan de l'analogique, le digitale utilisant cette limite arbitraire (on utilise d'ailleurs un "passe-haut" qui supprime toute les fréquence au dessus de, si je me souvient bien, 22000 hertz pour éviter d'avoir des résidus parasites quand ont supprime purement et simplement les fréquences au delà de 20000 hertz pile), dans l'analogique, c'est la technologie (ou plutôt les technologie puisque ça va de la prise de son à la restitution de celle-ci) qui, en fonction de ses performances réel à la capacité de restituer tel ou tel spectre de fréquences, les choses se font de façon tout à fait organique, il en résulte donc un son d'autant plus organique et riche en harmonique audible ou non, c'est l'arbitraire qui rend le digital inorganique. Bien sûr, l'argument que l'on oppose, celui de la "haute fidélité" est que les tournes disques ne restitue que difficilement les fréquences au delà de 17000 hertz environ, ce n'est bien sûr pas faut, mais au lieux de travaillé sur l'amélioration de l'analogique, on a tout misé sur le digital en disant que c'est irrémédiablement meilleurs, ce qui est un raisonnement tronqué puisque l'analogique, si l'on avait continuer à investir dedans peut certainement dépasser le spectre du digital. Actuellement, on passe par le digital pour améliorer la qualité des disques, par exemple, la technologie des scions variable (ce n'est peut-être pas son nom, mais c'est son principe), qui, en fonction du spectre détecté de l'onde varie la largeur du scion du disque, mais on pourrait très bien imaginer un moyen analogique de faire la même chose.
Je manquerais d'objectivité si je ne précisait pas qu'au début, il était remarquable pour qui avait un peu d'oreille que le digital était inorganique car il n'y avait pas encore d’algorithme de lissage des ondes, mais à partir de leur apparition, il est moins évident d'entendre la différence, peu importe pour moi, c'est le principe qui prévaut de toute façon et même si l'on ne remarque que difficilement la différence, il faut de toute façon tendre vers le mieux, l'analogique donc dans le cas présent.
Ce qui est d'après moi pire que tout au niveau du support analogique, c'est l'enregistrement digital reproduit en analogique, c'est cumuler les défauts des deux type de technologies, soit on fait du tout analogique et on utilise donc forcément un support analogique, soit on passe ne fusse qu'une fois l'ensemble de l'enregistrement par du digital et le support est digital. Ceci étant, dans le cas par exemple d'un synthétiseur produisant un son digital mixé à des instruments non digitaux enregistré de façon analogique, là, il est mieux d'avoir un support analogique.
Actuellement, la majorité des disques vendu sont enregistré de façon digital, c'est purement esthétique et ridicule, on vend une esthétique du passé, mais concrètement, on vend le pire produit imaginable à ce niveau.
Quand à la fidélité du son, elle est toute relative, tout les éléments de quelques technologie que ce soit éloigne d'une manière ou d'une autre le son original de ce qu'il est pour ne garder qu'une apparence d'authenticité.
"Je suis très pointilleux avec ce genre de chose."
Moi aussi (d'où la longueur de mon message ;-)), d'autant plus que j'ai travaillé à différents niveau sur la question.
"Perso, je ne crois qu'au Flac qui est pour moi, le meilleur format de compression de fichier étant donné qu'il n'y a aucune perte (sans oublier le [...] ou le Apple Lossless)."
J'essaye aussi d'être pointilleux sur la liberté, pourquoi parler d'un format non libre alors qu'il aurait suffit de tourner la phrase autrement:
"Les formats sans pertes sont les meilleurs au niveau de la compression puisqu'il n'y a aucune perte. Free Lossless Audio Codec et Apple Lossless sont actuellement les deux format libre de ce type."
On peut ajouter qu'Apple Lossless n'a pas toujours été libre, mais il l'est maintenant, c'est le plus important. Quand à lui préférer le Free Lossless Audio Codec, c'est mon cas aussi, mais peut-être pas pour les même raison, c'est simplement que c'était le seul libre de ce type quand j'ai commencer à utiliser ce genre de compression et que je n'ai pas envie de changer.
Quand aux performances des différents format sans perte, étant donné la taille des disques dures actuelle, c'est négligeable comme facteur de choix.
"Je ne fais que de l'écoute personnelle (écouteurs)."
Les écouteurs étant très près de l'oreille, on entend d'autant mieux les détails, donc, justement, la qualité compte d'autant plus aux écouteurs.
"C'est justement dans ces fréquences hautes, celles que tu ne perçois pas forcément, que par exemple le Ogg [...] va enlever des fréquences pour rendre le fichier plus petit.
Sauf que... cette suppression de fréquence aurait (je dis bien aurait) une incidence sur les harmonies en général, bien que l'on ne s'en aperçoive pas."
Le conditionnel n'est pas de mise! C'est mathématique, chaque note entraîne des harmoniques dont le nombre et l'intensité de chacune d'entre-elles dépends du timbre, autrement dis et pour schématisé, de la matière par laquelle passe le son. Chaque harmonique entraîne elle aussi d'autres harmonique, jusqu'à ce que physiquement, les molécules vibrante ne puissent plus entraîner d'harmonique, bien sûr, chaque harmonique se fait tant vers les basses que les aigus, donc, une harmonique d'environ 24000 hertz entraîne notamment comme harmonique environ du 12000 hertz, du 6000 hertz et caetera, donc, le son qui passe par un passe-haut ou un passe-bas à forcément une perte harmonique dans sa reproduction et le fait que la limite soit arbitraire est un facteur d'"inoragnicité" (ou d'éloignement du naturel) du spectre harmonique.
Tout la question est, bien sûr, est-ce qu'on s'en aperçoit lors de l'écoute ou pas.
Mais pour s'en apercevoir, il faut écouter attentivement une version sans perte et une version avec perte. Et (sans parler des très mauvaises qualités) souvent, c'est une question de ressenti d'ensemble, on ne va pas consciemment remarquer que la cymbale crash sonne moins bien par exemple, juste se dire que ça a quand même l'air mieux sans perte, sans pouvoir définir pourquoi.
Là encore, pour moi, c'est une question de principe, et encore une fois d'autant plus étant donné la capacité des disques dures actuelles, autant utiliser une compression sans perte pour être sûr d'avoir ce qu'il y a de mieux. Il faut dire que je suis un mélomane qui déteste écouter deux fois la même chose sur un laps de temps réduit (laps de temps qui peut s'étendre jusqu'à un jour selon mon humeur). Dès lors, comparer, très peu pour moi, même quand j'avais un disque dure de 2 giga octets, j'encodais déjà en flac. Ceci dis, ayant alors plus de 400 disques compactes, je ne mettait en gros sur mon ordinateur que mes albums préférés. Maintenant que j'en ai plus de 900, je n'ai tout simplement pas le courage de tout mettre sur une disque dure, même si je pourrais me le permettre au niveau de la place, d'autant plus que la vidéo ne m'intéressant pas plus que ça, je n'ai pas de fichier très volumineux comme des films en très hautes qualité. Tant qu'à voir un film, je préfère aller au cinéma, c'est de toute façon mieux que mon ordinateur ;-).
"Peut-être que cela aurait son importance avec de gros ampli' dans une grande salle."
"Si tu as bien compris, c'est un peu comme une image avec une très grande qualité que tu baisses progressivement avec Gimp.
Si tu as balancé le fichier original, tu ne peux plus revenir en arrière. Si tu agrandis, tu verras toujours les pixels et les défauts dus à la compression.
Le truc est de trouver un bon compromis entre la taille et la qualité que tu trouves acceptable pour ton style d'écoute.
Un grand écran HD a besoin d'un Blue Ray, pas d'une vidéo en 320x240.
Même chose pour la musique..."
Cette comparaison n'est pas des plus judicieuse dans le sens ou, étant donné que les ondes sonores sur un support digitales sont stockée de manière vectorielle, donc, on pourrait plutôt parler d'Inkscape et du nombre de point que contient l'image vectoriel, plus les points sont rapproché dans le temps, plus la définition du son est précise, un disque compacte par exemple, à une fréquence d'échantillonnage de 44100 Hertz chaque point est donc à un peu plus du double de la fréquence du passe-haut qui précède la découpe du spectre sonore (je me demande si ce passe haut n'est pas précisément à 22050 hertz, à vérifier). Il faut savoir que dans un studio d'enregistrement digital (soit la majorité des studios d'enregistrement), on utilise une fréquence d'échantillonnage bien plus élevé pour avoir une très bonne qualité et ce n'est qu'au "matriçage" final que l'on converti dans la qualité inférieur du support afin d'avoir un meilleurs rendu parce que les ondes de chaque instruments se superposent et la forme final dépend de l'ensemble des ondes, donc, plus on est précis au départ, plus l'approximation due à la perte de qualité à la fin sera proche de la réalité (tout en en étant nécessairement éloigné comme je l'ai déjà expliqué).
De même, l'amplification n'est qu'un facteur parmi d'autres, l'égalisation est également un facteur important dans la restitution d'une musique. La "grosseur" d'un amplificateur n'a aucune importance en soi, la qualité peut compter, mais c'est un facteur parmi d'autre:
Comme ça a déjà été dit, l'enregistrement est très important aussi, ce qu'on utilise comme microphone, leur placement, le déphasage des microphones plutôt l'un en face de l'autre, mais aussi la qualité des instruments utilisés, de leur amplification, la pré-amplification des microphones qui servent à enregistrer, tout ça est important pour la prise de son et j'oublie probablement des éléments, la technique d'enregistrement est importante aussi (analogique ou digitale, dans ce dernier cas, comme je l'ai dis, la fréquence d'échantillonnage, dans l'autre, la qualité des bandes utilisées et caetera), la qualité du support aussi à bien sûr son importance et enfin, la restitution soit l'amplificateur utilisé et les baffles utilisé (ce qui comprend les casques et, comme je l'ai dis, un casque permet d'entendre plus précisément, un casque de bonne qualité aura donc un meilleurs rendu qu'une enceinte d'une qualité équivalente).
"[...] à 192 kbps pour me balader, Flac chez moi.
Il n'y a pas de grosses différences entre le Ogg et le [...] si ce n'est que le Ogg est un format libre.
J'aime pas trop les niveaux 1, 2 , 3... je ne comprends que le kbps..."
La liberté fait toute la différence, quand au niveaux, si j'ai besoin de compresser de façon destructive (en espérant que ce ne sera plus le cas pour les baladeurs a venir étant donné, là aussi, l'augmentation de la capacité de stockage), j'utilise de toute façon le niveau maximum, alors que ce soit 10 ou 0,2383743018 (numérotation farfelue que je viens d'inventer), peu m'importe.
"Étrange, mais mon ORL m'avait fait remarquer que j'avais de très bonnes oreilles alors que je lui avouais me gaver de musique au casque."
Tout dépends du nombre de décibels.
Par ailleurs, comme je l'ai dis, la perception n'est pas limité que physiquement par les capacité de l'oreille, un cerveau de mélomane perçois plus de détails de ce qu'il entends qu'un cerveau de non mélomane.
"The Loudness War : http://www.youtube.com/watch?v=3Gmex_4hreQ
Une petite explication bien utile pour ne pas te faire avoir sur la qualité de certains remasters"
Tout les fans de la compression à outrance actuelle devrait avoir ça en tête, sans compter les dommage pour l'oreille, plus un son est compressé, plus il fatigue vite l'oreille (qui a besoin de "respirer" avec des variations d'intensité) et donc plus facilement il risque d'endommager l'oreille.
Ce qu'il y a, c'est que les technique de compression actuelle sont bien plus fine que ce qui est fait là, dans cette exemple, on entend clairement que la batterie compressée sonne des plus plate, avec les algorithmes de compression actuelle, c'est beaucoup moins évident, là aussi, on est à la limite de ce qui est perceptible, mais, vu les risques pour l'oreille, vouloir avoir un "gros son" dés le départ est ridicule là où, sans compression, on augmente le volume si on veut que ça soit plus fort (comme c'est dit dans la vidéo sus-liée). L'ironie du sort étant que l'on va peut-être écouter moins fort pour se préserver l'oreille un morceaux trop compressé que ce qu'on l'aurait écouté non compressé ou peu compressé et ça ne suffira pas, surtout au casque, car l'oreille se fatiguera quand même inutilement, même à un volume "raisonnable".
Tout comme on devrait légiférer pour limité la capacité sonore des baladeurs, on devrait légiférer pour limiter la compression, mais c'est un autre débat...
Quand aux rematriçage, c'est en effet une arnaque pure et dure, en règle général, rien ne vaut l'original et plus encore quand il est analogique!
"Au fait, puisque tu sembles t'y connaître en son, quels matériels et logiciels conseillerais-tu pour enregistrer des instruments acoustiques (toujours dans l'idée de créer des fichiers aux formats ouverts) ? Par exemple, si je veux enregistrer la voix, le violon, le piano, la guitare."
Tout dépends de ce que l'on veut, certain ne jure que par les microphones orientés tels deux oreilles pour reproduire le son aussi fidèlement que possible en stéréo, ce qui a cet avantage, mais aussi bien d'autres inconvénient, ça peut paraître plus naturel, c'est vrai, mais être plus dérangeant à écouté par exemple, parfois, le réalisme n'est pas l'idéal, de toute façon, comme je l'ai déjà évoqué, on n'a jamais une reproduction fidèle de la réalité.
Personnellement, je préfère la précision, c'est à dire des microphones omnidirectionnel, peu importe la marque, mais tous de même marque pour la cohérence (certain trouve cet argument ridicule, c'est un point de vue, avec lequel je ne suis absolument pas d'accord, mais je ne peux pas prouver scientifiquement que c'est faux donc, je dis juste que c'est ce que je pense), bien sûr, utiliser un ou des microphone(s) prévu pour l'instrument enregistré (et quand je parles de plusieurs microphones, je ne parle pas que du cas de la batterie qui a plusieurs instruments, mais bien de certains instruments dont il est préférable d'enregistré avec plusieurs microphones, je sais que c'est au moins le cas pour la caisse claire afin d'enregistré la peau qui frappe sur le ressort en dessous et pour le piano qui d'ailleurs est, pour le peu que j'en sais, assez complexe tant à enregistrer qu'à qu'à matricer, mais je ne sais pas en dire plus, je n'ai fait qu'observer un ingénieur du son lors d'un stage qui matriçait un enregistrement de piano dont je sais juste qu'il était enregistré sur plusieurs pistes et donc avec plusieurs microphones et ce que j'observais était loin au dessus de mes compétences, ceci-dit, il pinaillait sur des détails à peine audible, deux fois sur trois, je n'entendais pas la différence, je crois que pour un résultat acceptable, en suivant des tutoriel, il y a moyen de s'en sortir). Il y a aussi beaucoup de tutoriels sur le réseau sur le placement des microphones (ce qui est très important), il suffit en général de chercher pour trouver, un conseil, ne pas se limiter à un tutoriel afin d'avoir une vue d'ensemble et de constater là où les points de vue peuvent diverger), enfin, il faut expérimenter, ça peut être long et rébarbatif, mais, ça permet de trouver ce qui convient le mieux pour soi, par exemple, pour enregistrer la batterie de mon frère, à chaque instrument de la batterie (à l'exception de la caisse claire), on a essayé avec une ou deux peau, on a essayé différents placements de microphone, surtout pour les microphones de tête et le moins qu'on puisse dire c'est qu'on a fait dans le non conventionnel à ce niveau là, enfin, une fois qu'on était satisfait par les choix évoqués, on a essayé un serrement et un désserrement important des peau pour voir ce que ça changeait, ce que l'on a noté, à chaque instruments, on a essayé chaque boutons d'égalisation un par eu au niveau minimum, médium et maximum pour voir ce que ça apportait et retirait au son, on a également noté ce que ça apportait et retirait à chaque instrument de la batterie et enfin, en fonction de ce qu'on a noté pour chaque instrument, on a décidé d'une tension de peau et d'une égalisation précise (plus tard, j'ai vu des tutoriel qui m'ont appris d'autres truc, comme par exemple, quand on entend un défaut dans le son, on va égaliser pour l'entendre le plus possible pour savoir ce qu'il faut faire inversement pour cacher le plus possible ce défaut, ceci dis, en fonction du matériel que l'on a, on peu plus ou moins bien mettre en évidence et supprimer une fréquence indésirable). Toujours à propos de l'égalisation, si on veut être dans le réalisme, on n'égalise pas, on met tout les boutons au milieux (à part pour le positionnement gauche droit, mais, personnellement, même si ces boutons sont en dessous des autres, je ne les considère pas comme faisant partie de l'égalisation, mais bien à part, juste pour ce qu'ils sont; un conseil au sujet de ceux-ci, se fier à ces oreilles avec un casque et, surtout, jamais, oh grand jamais, ne mettre à fond d'un côté, sauf si c'est pour faire un effet particulier un moment donné, mais ça ne doit jamais durer trop longtemps, les oreilles sensible comme les miennes pourrait ne pas apprécier du tout).
C'est aussi important de choisir une bonne carte son, je ne m'y connais pas trop, mais en gros, le mieux est d'avoir autant d'entrée directe que de microphones utilisés et des boutons individuels pour prise fantôme. Le problème étant que souvent, on tombe sous des technologies breveté, il faut donc bien faire attention au spécificité technique si on veut rester dans un esprit libre autant que possible.
"Il ne s'agit pas de logiciels, il s'agit de micros."
Pour dire un mot niveau logiciel (qui ont également leur importance), il y en a certainement en suffisance dans les dépôts de Trisquel, audacity pour commencer, c'est bien, après, si l'on veut synchroniser avec un métronome électronique externe, travailler en Interface Numérique d'Instrument de Musique et ce genre de chose, si je me souviens bien, on a besoin de Jack et de programmes d'enregistrement plus évolué qu'Audacity, mais j'ai un peu oublié ce qu'il y a, à vrai dire, dans mon stage en studio d'enregistrement, j'étais obligé de travailler sous un système d'exploitation propriétaire avec un logiciel propriétaire. Avant ça, il y a bien des années, quand j'ai essayé d'enregistré avec Ubuntu Studio, celui-ci, qui venait à peine d'être disponible n'était pas suffisamment au point pour moi, j'ai en suite décrocher pour me concentrer sur l'enregistrement analogique.
"http://www.youtube.com/watch?v=wK5D1jAVDrI
Une excellente vidéo du type dont je t'ai parlé qui t'explique les différents types de son que tu peux entendre avec tes oreilles dans la nature mais qui vont devoir être enregistrées et donc captées."
Oui, bien sûr, tout ingénieur du son (ce que je ne suis pas, même si j'ai pas mal appris par moi-même) doit passer par un apprentissage théorique au niveau du son et c'est très intéressant. Cette série de vidéo à l'air très bien faite. Mais il faut aussi savoir mettre en pratique, par exemple, dans un studio un absorbeur de son permet principalement de limiter la réverbération, mais, comme un son sans réverbération manque de naturel, plutôt que d'ajouter une réverbération artificielle par la suite, on préfère simplement ne pas mettre d'absorbeur partout dans le studio, on en met à des endroit ciblé (je n'en sais pas beaucoup plus, mais il y a très certainement, là aussi, des tutoriels qui explique ça très bien). La résonance sympathique peut parfois être ennuyante, par exemple, les notes qui font vibrer le ressort d'une caisse clair, c'est ennuyant, surtout pour enregistrer, c'est pour ça que l'on préfère enregistrer les instruments séparément, comme ça il ne résonnent pas entre eux (bien sûr, c'est une perte harmonique à la source qui fait que certains préfère enregistré en groupe pour avoir un son plus naturel quitte à avoir un son un peu plus "brouillon"), par ailleurs, pour enregistrer une batterie, on s'assure que les autres éléments n'entre pas en résonance sympathique avec la caisse clair et si c'est le cas, on change la pression des peaux, ce qui change sensiblement la note, soit de l'instrument qui entraîne la résonance sympathique, soit de la caisse claire (par exemple, dans le cas de cymbales qui entraîne une telle résonance, on ne peut que régler la caisse claire).
"Une autre sur le type de micro. Attends bien la moitié de la vidéo, c'est là ou tu vas vraiment comprendre pourquoi selon le micro tu n'as pas un bon résultat.
Les micros ont des type de capture...
http://www.youtube.com/watch?v=VVUhbkheHlQ"
C'est en effet la base de ce qu'il y a à savoir sur les microphones et, bien sûr, tout est une question de choix en fonction des avantages et des inconvénients, par exemple, si on a un petit budget, on préférera des microphones les plus solides possible (dynamique donc). Pour certains instruments, certains type de microphones sont préférable, par exemple, pour les microphones de tête d'une batterie, j'ai toujours vu des microphones à condensateur (qu'ils soient sur pilles ou alimentation fantôme), j'en conclus donc que quelque soit la marque, il est communément admit qu'un microphone dynamique ne serait pas suffisamment précis et quelque part, c'est logique, les cymbales sonne très aiguës et qui dit aigu dit précision (puisque l'onde est plus courte).
"on oublie complètement l'acoustique qui est une véritable éducation
Ce que d'autres musiciens ne font pas, ce type qui a fait ces vidéos et qui est aussi musicien a l'intelligence de le faire.
Et cela te sert même pour écouter de la musique chez toi."
Dans les tutoriels pratique, peut-être que l'on considère que c'est acquis, mais dans les quelques cours que j'ai eu sur le sujet, ces bases ont toujours été données. C'est vrai que quelqu'un qui apprends par lui même va peut-être privilégier le côté pratique et passer à côté de choses importante, ne pas en comprendre d'autre parce qu'ils n'aura pas appris ces bases, c'est donc important de le souligner, mais la façon dont c'est dit donne l'impression que beaucoup s'en foutent, or, dans le milieux professionnel, c'est un apprentissage de base indispensable et même bien en deçà du niveau d'un ingénieur du son.
"Mais aussi si je veux filmer des paysages qui défilent, filmer une personne qui marche, filmer une personne qui joue du violon."
Là, je n'y connais quasi rien, je ne vais donc pas dire grand chose: utiliser un/des format(s) libre(s), utiliser la meilleurs qualité possible jusqu'à ce qu'on doive la diminuer pour le produit fini (comme pour le son) et beaucoup se documenter (comme pour le son). Et pour ce qui est dit: "des paysages qui défilent" donc, caméra fixe, "une personne qui marche" si la caméra bouge, surtout si celui qui filme n'est pas un professionnel et si possible, utiliser un système de rail ou quoi pour un déplacement linéaire de la caméra, "une personne qui joue du violon", attention à la possibilité de pouvoir synchroniser, il faut d'abord enregistrer le son, en suite, un fois que c'est fait, reproduire celui-ci afin que le violoniste joue au(x) même(s) tempo/i, au pire, filmer lors de l'enregistrement (mais, là encore, c'est "réalisme" contre précision) ou utiliser un métronome très précis (pour avoir le(s) même(s) tempo/i à l'enregistrement audio et lors de l'enregistrement visuel).
"Pour commencer, je pense enregistrer dans ma chambre (environ 5m * 5m * 5m). ;) Mais ça pourrait bien être dans la rue ou dans la forêt, la caméro et/ou le micro qui est immobile ou qui bougent (sur un vélo)."
Alors, certains parles de dimensions liée à la suite du nombre d'or qui aurait des vertus acoustiques idéals, 5 mètres sur 5 mètres sur 5 mètres, ce n'est clairement pas le cas, mais d'une part, je ne pense pas que le but soit un tel idéal, d'autre part, il faut surtout faire attention a ce qui peut être gênant dans l'acoustique de la pièce pour l'enlever ou, en tout cas, l'atténuer le plus possible, par exemple, les meubles sont des risque de résonance sympathique désagréable, une pièce a une résonance qui lui est propre (que l'on entend d'autant mieux quand elle est vide), il faut donc essayer, voir comment ça sonne, voir si la sonorité est problématique, voir si l'on peut résoudre le problème et éventuellement choisir une autre pièce, enfin, tout est une question de moyens que l'on se donne, si on a assez d'argent pour te construire ton propre studio, on fait appel à un acousticien qui va faire en sorte que ça sonne pour le mieux, sinon, on peut toujours essayer d'avoir des proportions que l'on trouve dans des tutoriels (qu'ils soit basé sur le nombre d'or ou pas) en faisant des cloisons en bois, ce qui coûte entre 100 à 1000 fois moins cher, dans ce cas, il ne faut pas oublier le côté pratique, s'il n'y a plus la place pour mettre tel ou tel instrument, ou si on ne sais pas être debout sans se cogner au plafond, ça n'est pas la peine d'essayer.
Pour ce qui est d'enregistrer en extérieur, c'est un des cas où des microphones multidirectionnel peuvent être utile (surtout pour une prise de son en milieu naturel), mais pas forcément, les micro-perches des entrevues en pleine rue sont au contraire très directionnel pour éviter un maximum les bruits environnants.
"Est-ce que les caméras GoPro peuvent être munies de bons micros ?"
S'il y en a certainement de bons microphones de caméra (je n'y connais rien à ce sujet), c'est toujours mieux de séparer la prise de son et la prise d'image, il est tout à fait possible de les synchronisé en ayant deux enregistreur séparé, le gros avantage de ce genre de système est de choisir le microphone en fonction de la situation, bien sûr, il ne s'agit pas de s'acheter 36000 microphone d'un coup, mais d'acheter ce qu'il faut pour un projet, puis, plus tard pour un autre, et caetera et un jour, on se retrouve avec un large choix de microphones que l'on choisi en fonction des situations.
"Tu peux utiliser SoundJuicer pour convertir tes CDs en FLAC (ou autre). Il cherche par lui même sur MusicBrainz l'auteur, les titres, etc. Il y a, dans ses préférences, une case à cocher pour que l'éjection du CD soit automatique à la fin de l'extraction."
Attention que les bases de données musicales tel que celle évoquée sont imparfaite, d'une part, tout dépends de la justesse de l'encodage des titres et d'autre part, il arrive qu'il y a des confusions, j'ai remarqué que les simples 2 titres sont particulièrement sujet à ces confusions, il suffit qu'une chanson fasse le même temps qu'une autre et comme le format simple 2 titres est assez rependu et quand le deuxième titre est une version modifiée du premier (instrumental, version alternative, ...), le premier titre encodé sur une tel base de donnée, voire le plus populaire est proposé. Je me suis déjà retrouvé avec un simple 2 titre de ma composition (enregistré du temps où je découvrait à peine les logiciels libres et où j'enregistrais encore avec un logiciel non libre sur un système d'exploitation non libre) a été détecté comme étant celui de je ne sais plus quel chanson de Shakira, je trouve que c'est une très bonne chanteuse, mais je n'ai pas été flatté pour autant ;-).
"Je n'ai qu'à peine une centaine de cd, mais des milliers de fichiers [...]"
Sans parler de la légalité (puisqu'on peut acheter légalement des fichiers, de même qu'on en trouve des libres et gratuit), c'est quelque chose que je ne comprends pas, à moins de télécharger des fichier dans un format sans perte, à quoi sert d'avoir autant de fichiers qu'on ne va écouter que quelques fois étant donné leur quantité?
Et pour parler un minimum de la légalité, je suis plutôt pour une optique légaliste et libriste, mais je ne vais pas polémiquer sur le sujet.
"5 minutes 15 pour un cd de 16 fichiers (avec ordinateur en forme, et 8 Go de RAM).
Bon, pour un peu moins de 200 cd, ça devrait faire environ seize heures."
"Tout dépend de l'état du CD et des options que tu as mises comme la "lecture paranoïaque" je crois qui prend plus de temps."
Aussi, d'un disque compacte à l'autre le nombre de fichier et la taille de ceux-ci est variable.
"Tu peux te renseigner sur le niveau de compression [...] si tu veux les mettre en format OGG avec VLC dans les informations sur le fichier lu et prendre exactement le même niveau de compression."
Utiliser un logiciel de lecture est une perte de temps, il suffit d'aller dans les propriétés du fichier dans l'onglet audio.
Bon, avec SoundJuicer, j'ai pu créer des flac à partir de la plupart des cd (150). Il en reste une cinquantaine qui semblent légèrement "DRM-isés". Je m'en occuperai plus tard.
Effectivement, il y a bien eu deux disques dont les fichiers flacs ont été mal nommés (pris pour un autre disque). J'ai simplement renommé après "flacage".
Il a des disques que des personnes m'avaient passées, mais qui sont, en fait, des gravures (disque vierge acheté au magasin à l'origine). Je ne présage donc pas de la qualité ni de la pertinence à en faire des flac puisque je ne sais pas à partir de quoi ni comment ils ont été gravés.
En fait, si j'ai beaucoup de fichiers (mp3 surtout), c'est surtout qu'ils proviennent de téléchargement. Il faudra bien que je fasse aussi un tri dans tout ça. Mais l'idée principale reste le partage de fichiers (artistiques, scientifiques, didactiques, etc.), surtout le partage décentralisé. Par la suite, je pourrai partager de plus en plus de fichiers flac et webm (sans compter les pdf, mais c'est un autre domaine ; mes pdf sont en grande majorité des pdf qui parlent de science, même s'il y en a quand même un peu de littérature comme celle d'Émile Zola, Honoré de Balzac, Dostoïevski, etc.).
Est-ce que le domaine des sons, dont il est question dans cette discussion, relève-t-il d'une partie de la physique ? s'appelle-t-il "musicologie" ? Quels ouvrages (pdf librement téléchargeables si possible) conseiller ? Peut-être faudrait-il que je revoie plus en détail aussi le solfège. Je n'ai pas fait d'harmonique ou de contrepoint pour le moment. Est-ce que ce fichier, que je viens de trouver, peut déjà m'apprendre l'essentiel (voire plus) ?
Tant qu'à faire, pour rédiger et imprimer des partitions, quels logiciels libres préférez-vous utiliser (parmi les dépôts de Trisquel) ?
"Pour donner un exemple marquant, quand on compresse un fichier à une très mauvaise qualité, ce qui sonne le moins bien, c'est la batterie et particulièrement les cymbales qui sont d'une part des instruments dont la note fondamental est assez aiguë, mais en plus dont les harmonique plus aiguës ont un volume relativement élevé par rapport à la note fondamentale, ainsi, les cymbales sonnent particulièrement mal quand on supprime les ondes les plus aiguës."
Si j'ai bien compris, quand on compresse un fichier en en réduisant sa qualité, ce sont d'abord les notes les plus aiguës qui sont touchées car elles ont la plus grande fréquence ?
Je ne m'y connais pas en "analogique-numérique". Si j'ai bien compris : si j'enregistre des sons ou images ou vidéos, il faut "perdre" la qualité le plus tard possible, et numériser le plus tard possible car le numérique ne prend en compte que des valeurs comprises dans un intervalle, intervalle plus restreint que l'intervalle initial analogique. Bon, je n'ai que peu appris en électricité aussi. Un fichier est forcément numérique (numérisation de quelque chose d'analogique). Si je veux partager des fichiers flac (que j'aurais créés moi-même à partir d'enregistrements; les mettre en libre téléchargement), je dois tenir compte de ce que tu as dit. [A moins que l'on puisse partager, copier librement et simplement de l'analogique (en maintenant la qualité), qu'il s'agisse d'audio ou de viedo ???] Bon, alors, l'idée est d'avoir le meilleur enregistrement possible pour faire le moins possible (si possible aucune) de retouches après l'enregistrement (pour la numérisation).
Est-ce que, dans le numérique, je peux modifier le passe-haut et le passe-bas dont tu parles ? (micros, carte son, logiciels, etc.) Ou est-ce que les limites sont fixées dans la plupart des ordinateurs ?
Les infra-basses, c'est celles qu'on ressent quand on est à côté de Guggen Musik (gros tambours à Carnaval) dans la rue ? Ou quand un gros ballon de baudruche plein d'hélium éclate à côté de nous ?
Qu'est-ce exactement que le lissage des ondes ?
Le violon électrique, est-ce encore de l'analogique ? et quand une personne utilise un "sampler" (durant un show, par exemple), est-ce encore de l'analogique ?
Admettons qu'on joue du violon acoustique (pas électrique) dans une petite salle (comme ma chambre), comment positionner le(s) micro(s) ? Puis, avec quel(s) logiciel(s) libre(s) mettre le tout en fichier flac ? [Pour l'instant, je n'ai ni micro, ni caméra, ni autre matériel d'enregistrement, et je ne suis pas sûr que le Samsung Galaxy S3 donnera la meilleure qualité d'enregistrement. :lol: ] Pour l'instant, j'ai à disposition un violon, une guitare, un banjo, une flûte à bec, un fifre (faut que j'apprenne à souffler dedans), bientôt le piano de mes parents. Puis faut que j'économise pour investir dans un accordéon (jamais joué non plus).]
En fonction de quels critères (lisibles sur l'emballage ; mis à part celui d'être omnidirectionnel) acheter un micro dans un magasin ? voire un magasin spécialisé ? voire sur l'internet ? si on veut garder la meilleure qualité lors de l'enregistrement. Vais-je utiliser le même type de micro pour la voix (le chant) et le violon, la guitare, le piano, etc. ? (j'imagine qu'il faut aussi se procurer les supports pour ne pas devoir tenir le micro en main au-dessous du menton) Je viens de trouver cette page sur les microphones. On dirait que le microphone à condensateur me conviendrait.
Bon, peut-être confonds-je qualité et fidélité ?
Au fond, qu'est-ce qui fait qu'une personne soit mélomane ou pas ? beaucoup de personnes aiment écouter de la musique, mais sont-elles pour autant mélomanes ?
Je n'ai pas de baffle. A vrai dire, je n'en vois pas l'urgence. J'ai l'habitude de sortir le son de l'ordinateur portable ou des écouteurs aux oreilles (ou du téléphone portable). Peut-être pourrai-je me procurer des hauts-parleurs ou enceintes (de nouveau, comment choisir ?), mais c'est loin d'être urgent pour moi.
Je n'ai pas de casque, comment le choisir (en fonction de quels critères techniques) si j'arpente les magasins ?
Quand tu parles de peau, tu parles juste de la caisse (à laquelle je n'ai jamais joué) ? ou le mot "peau" a-t-il une autre signification en musique ?
"C'est aussi important de choisir une bonne carte son, je ne m'y connais pas trop, mais en gros, le mieux est d'avoir autant d'entrées directes que de microphones utilisés et des boutons individuels pour prise fantôme."
Les microphones sont reliés à l'ordinateur portable ? ou à une autre machine ? faudrait-il un ordinateur avec beaucoup de prises (entrées directes) ?
De prime abord, je pensais enregistrer simultanément des instruments joués simultanément. Y a-t-il souvent besoin d'enregistrer séparément puis de superposer par la suite ? [Là, par contre, j'ai beaucoup à apprendre. Je n'ai que peu utilisé Audacity et autres logiciels du genre.]
"par exemple, dans un studio un absorbeur de son permet principalement de limiter la réverbération, mais, comme un son sans réverbération manque de naturel, plutôt que d'ajouter une réverbération artificielle par la suite, on préfère simplement ne pas mettre d'absorbeur partout dans le studio"
De prime abord, je n'utiliserais pas d'absorbeur.
" "une personne qui joue du violon", attention à la possibilité de pouvoir synchroniser, il faut d'abord enregistrer le son, en suite, un fois que c'est fait, reproduire celui-ci afin que le violoniste joue au(x) même(s) tempo/i, au pire, filmer lors de l'enregistrement (mais, là encore, c'est "réalisme" contre précision) ou utiliser un métronome très précis (pour avoir le(s) même(s) tempo/i à l'enregistrement audio et lors de l'enregistrement visuel)."
Ah ? j'espère pouvoir enregistrer le tout (video et audio) en même temps en un fichier video (webm, par exemple). Ce n'est pas vraiment facile de reproduire exactement au même tempo (et ça prend deux fois plus de temps). Ou bien faut-il séparer car le micro doit être proche de l'instrument tandis que la caméra doit être plus éloignée ?
'Effectivement, il y a bien eu deux disques dont les fichiers flacs ont été mal nommés (pris pour un autre disque). J'ai simplement renommé après "flacage".'
Il eu mieux valu corriger dans soudjuicer avant de les extraire (double clic sur les zones à modifier voire F2, je ne sais plus très bien, je n'ai pas fait ça depuis longtemps), en effet, même s'il y a très peu de méta-données dans fichiers .flac, il y en a et c'est le mauvais titre qui s'affichera dans les lecteurs utilisant ces méta-données (pour modifier les méta-données erronée maintenant, tu peux utiliser Easytag).
"Est-ce que le domaine des sons, dont il est question dans cette discussion, relève-t-il d'une partie de la physique ?"
Oui, le son, ce n'est que de la physique. Il s'agit d'une vibration qui s'étend d'une molécules aux molécules qui l'entourent (on parle d'ailleurs de célérité et non de vitesse puisque les molécules ne bougent pas, elle ne font que vibrer)
"s'appelle-t-il "musicologie" ?"
La musicologie est plus large puisque tout les aspects de la musique y sont étudié.
"Quels ouvrages (pdf librement téléchargeables si possible) conseiller ?"
Je suis peut-être vieux jeux, mais à la bibliothèque subventionné par l'état, j'emprunte autant de livre que je veux gratuitement, je paye un euro par ans pour les droits d'auteurs, ce qui ne me dérange pas vraiment, je sais que la Société d’Auteurs Belge – Belgische Auteurs Maatschappi est une bande de voleur, mais rien qu'en allant dans un café et en consomment quelque chose, je participe indirectement à l'engraissement des dits voleurs puisque le patron du café payent des droits d'auteurs à cette société pour pouvoir diffusé la radio dans son café, donc, pour un euro par ans, tant pis, même si par principe, je devrais être contre.
Donc, voici quelques références de livres que j'ai lu et qui m'en ont appris pas mal de choses (par ordre alphabétique des auteurs):
-Bensoussan D., Reproduire le son, 1981.
-Daniélou Alain, Traité de musicologie comparée, Numéro International Normalisé du Livre 2 7056 1265 3, 1959.
-Desmons Jean, Acoustique pratique, Numéro International Normalisé du Livre 2 86243 068 4, 2003.
-Liénard Pierre, Petite histoire de l'acoustique, Numéro International Normalisé du Livre 2 7462 0294 8, 2001.
Reproduire le son est très intéressant pour avoir une bonne base pour l'enregistrement (de la prise de son au produit fini si je me souviens bien), mais on est très loin d'être ingénieur du son après l'avoir lu ;-), Petite histoire de l'acoustique est dispensable si le sujet ne t'intéresse pas, mais moi, je l'ai trouvé très intéressant. Acoustique pratique est très bien pour commencer même si c'est parfois un peu trop "pédagogique" et enfin Traité de musicologie, là, il y a beaucoup de détails que j'ai trouvé très intéressant (même s'il est incomplet niveau de la physique du son), mais que certain qui ne s'y intéresse pas tant que ça pourrait trouvé assomment.
"Peut-être faudrait-il que je revoie plus en détail aussi le solfège."
Pour enregistré? Pas besoin, pour lire ou écrire une partition, c'est, en effet, très utile et pour composer, ça dépends, on peut s'en passé comme s'en servir.
"Je n'ai pas fait d'harmonique ou de contrepoint pour le moment."
Tu veux dire d'harmonie, je suppose, les contrepoint, c'est casse tête à composer, mais très intéressant, au fait quel "niveau" as-tu (en solfège et depuis combien de temps joues-tu d'un instrument de musique)?
"Est-ce que ce fichier, que je viens de trouver, peut déjà m'apprendre l'essentiel (voire plus) ?"
Alors, rien à voir avec la musique, mais là, tu viens de faire un lien non sémantique, du genre "cliquez ici", quand on fait un lien, on décrit toujours celui-ci dans le morceau de phrase qui le lie, ça permet une meilleurs indexation par les moteur de recherche.
Quand au contenu, déjà, à moins que ça ne t'intéresse vraiment, tu peux passer toute la première partie et la deuxième, si tu aime la physique, tu va adorer, sinon, tu va te casser la tête pour comprendre le son de manière théorique sans rien avoir de pratique, c'est très loin des vidéos lié en exemple dans un autre commentaire où l'on allie la base théorique à la pratique: il n'y a, dans ce document, pratiquement que des formules et pas d'exemple pratique de ce qui est expliqué, j'aime bien la physique, mais à petite dose, ce document, je ne le lirait tout simplement jamais car je ne suis pas physicien, mais si vraiment tu aime ça, tu peux; j'y ai vu la formule de base de lambda (la lettre grec que l'on utilise en physique du son), moi, c'est la première formule que je donnerai, là, elle ne vient pas en premier et elle est noyée au milieux de plein d'autre. Tout ça pour dire que tu as la base aussi, mais parmi tellement d'autre choses que ce document risque de donner une vision pas assez concrète de ce qu'est le son, c'est un peu l'opposé d'"Acoustique pratique" qui est limite fait pour des enfants (bon de grands enfants, d'accord).
"Tant qu'à faire, pour rédiger et imprimer des partitions, quels logiciels libres préférez-vous utiliser (parmi les dépôts de Trisquel) ?"
J'utilise Tuxguitar, qui est très bien fait et suffisamment complet pour moi (encore que il est impossible de noter des quintolet ou des septuolet par exemple, mais le seul logiciel où c'était possible de le faire, plantait tout le temps. Si c'est un logiciel particulièrement adapté aux personnes utilisant les tablatures, on peu très bien s'en servir pour n'écrire que des portées. Ceci étant, j'ai choisi ce logicien il y a des années à ce moment là, c'était celui qui était le plus complet tout en ne plantant pas, je suppose que maintenant d'autres logiciels sont au moins tout aussi bien puisqu'ils ont continué à se développer, par ailleurs, des nouveaux sont peut-être apparu, j'utilise Tuxguitar par habitude, je ne suis donc pas très au courant de ce que valent les autres maintenant donc, je te conseil plutôt de te faire ton idée en essayant tout ceux que tu trouve.
"Si j'ai bien compris, quand on compresse un fichier en en réduisant sa qualité, ce sont d'abord les notes les plus aiguës qui sont touchées car elles ont la plus grande fréquence ?"
Je suis un peu tatillon, mais "grande fréquence" est un terme qui peut prêter à confusion, ce son des fréquences dont le nombre qui les désigne en hertz sont élevé, mais ça ne fait pas d'elles de "grande" fréquence. On parles plutôt de haute fréquence. Sinon, oui, tu as bien compris.
'Je ne m'y connais pas en "analogique-numérique". Si j'ai bien compris : si j'enregistre des sons ou images ou vidéos, il faut "perdre" la qualité le plus tard possible, et numériser le plus tard possible car le numérique ne prend en compte que des valeurs comprises dans un intervalle, intervalle plus restreint que l'intervalle initial analogique.'
C'est un peu ça, mais pas uniquement
Je reviendrai plus tard sur la partie analogique pour me concentrer ici sur la partie numérique car ce que j'ai dit était peut-être confus: à partir du moment où le produit final est numérique, il est inutile d'enregistrer d'abord en analogique, c'est contre productif car on cumule les défaut de l'analogique et du numérique, donc, on enregistre directement en numérique, mais il importe qu'il soit de la plus grande qualité possible du début du processus à la fin du processus, juste avant la création du produit final.
Donc, quand tu enregistre une onde en numérique, ce sont des points plus ou moins rapproché de l'onde naturel enregistrée qui sont enregistré. Plus ils sont rapproché, plus la qualité est élevée, cette qualité, il est important de la conserver dans la postproduction (soit après avoir enregistré, quand on mélange les piste qu'on ajoute des effets, que l'on compresse éventuellement le son et caetera. Ce qu'il y a, c'est que le disque compacte est limité à 44100 hertz dans son échantillonnage du son, ce qui est limite pour quelqu'un ayant une très bonne oreille (puisque, si je ne me trompe, on divise cette fréquence par deux cette fréquence pour déterminé où ce situe le passe haut que l'on va utilisé, soit 22050 hertz, sans compter qu'après, on ne reproduit que les sons allant jusqu'à 20000 hertz), mais bien suffisant pour la majorité des gens. Donc, c'est une fois que le produit est fini qu'on diminue le nombre de hertz de échantillonnage pour pouvoir le mettre au format de disque compacte (dont la qualité d'échantillonnage a été repris dans pratiquement tout les formats de fichier audio compressé, avec ou sans perte).
Et si on fait ça, c'est effectivement pour garder la meilleur qualité possible pour chaque piste, chaque effet utilisé et caetera jusqu'au résultat final, comme ça, quand on diminue la qualité de l'échantillonnage pour ce résultat final, la perte de qualité n'est pas cumulative. C'est difficile à expliquer sans montrer des dessins d'ondes vectorielles, mais en gros, si tu mettait une qualité de 44100 hertz dès le départ, chaque perte de détail s'ajouterait à celle des autres piste, par les effets ajoutés, ce qui fait que le produit final aura plus de perte que si l'approximation du format final n'est faite qu'au dernier moment. J'espère que c'est assez clair car j'ai du mal à expliquer cela, même si c'est clair dans ma tête et je comprends que ça puisse être confus (ceci-dis, tu semble avoir compris globalement le principe).
"Bon, je n'ai que peu appris en électricité aussi."
Ce n'est pas spécialement nécessaire, les bases que l'on en apprends en physique en secondaire sont largement suffisante pour comprendre ce qu'il y a comprendre au niveau surtout des microphones (et même si on n'a pas tout retenu, on se rappel vite quand c'est utile).
"Un fichier est forcément numérique (numérisation de quelque chose d'analogique)."
Oui (et non), un fichier est forcément numérique, par contre, on ne numérise pas forcément quelque chose d'analogique, on peut directement numérisé le son naturel. Par exemple, si tu scanne une feuille manuscrite, tu va numérisé une image naturelle, si tu scanne une copie carbone ou une photocopie analogique (ça ne se fait plus vraiment, mais, si tu as connu ça, c'est le truc qui sentait l'alcool qu'il y avait dans les écoles, il y a pas mal de temps déjà), là, c'est comme si tu numérisait un vinyle ou une cassette analogique (je précise parce qu'il y a des cassettes numériques aussi, mais c'est tombé en désuétude).
Analogique ne veut dire que "qui est analogue", c'est donc une copie la plus ressemblante possible de l'original, la qualité de la ressemblance dépendant de la technologie utilisée.
"Si je veux partager des fichiers flac (que j'aurais créés moi-même à partir d'enregistrements; les mettre en libre téléchargement), je dois tenir compte de ce que tu as dit."
Tu ne dois pas, tout dépends de ton degré de perfectionnisme et de tes choix de productions (quand on parles de producteur, c'est en partie ça, c'est le type qui fait des choix plus ou moins artistique quand à la production, en l’occurrence l'enregistrement), j'essaye de te donner un maximum d'information, après, tu en fais ce que tu veux, plus tu sais l'éventail des possible, plus tu fais les choix qui te correspondent (y compris au niveau de ton budget).
"[A moins que l'on puisse partager, copier librement et simplement de l'analogique (en maintenant la qualité), qu'il s'agisse d'audio ou de viedo ???]"
C'est tout à fait possible en effet, dans le temps on s’échangeait des cassettes audio: on fournissait une cassette (audio ou vidéo) vierge et le groupe désireux de partagé ce qu'il avait enregistré librement, sans droit d'auteur (ça se faisait surtout dans les milieux punk et métal par refus de systèmes du type de la Société d’Auteurs Belge – Belgische Auteurs Maatschappi ou de la Société des Auteurs, Compositeurs et Éditeurs de Musique en France) faisait la copie, si la personne avec qui on faisait cette échange était loin, on payait les frais de port et c'est tout). Ça se pratiquait encore jusqu'au milieu des années 1990 au moins. Je l'ai personnellement fait avec le second enregistrement que j'ai effectué (le premier était très mauvais et à été édité à 4 exemplaire si je ne me trompe, un par membre du groupe en gros).
"Bon, alors, l'idée est d'avoir le meilleur enregistrement possible pour faire le moins possible (si possible aucune) de retouches après l'enregistrement (pour la numérisation)."
Les retouche ne servent pas qu'à pallier aux défauts d'enregistrement, on peut ajouter des effets pour donner une ambiance particulière par exemple, mais il me semble comprendre que ce n'est pas ce qui t'intéresse, néanmoins, si ça t'intéresse, je te conseil les effet "analogique" (c'est maintenant que je réalise qu'à parler d'effet analogique par opposition aux effets numérique peut semer la confusion à ce sujet puisque l'effet ne copie pas le son, il le modifie dans son flux électrique, c'est différent, quoi qu'il en soit, dans le langage courant, on perle d'"effet analogique" même si ce terme est en fait impropre), comme ça, on évite l'utilisation du numérique avant la prise de son et la perte de qualité due au numérique se fait le plus tard possible.
Mais il semble que tu sois plus adepte de l'ambiance naturel de la pièce dans laquelle tu enregistre, ce qui est très bien me semble-t-il. En fait, en lisant ce dernier commentaire, j'ai compris que tu ne voulais pas enregistré un groupe (tu avais parlé de plusieurs instruments et j'ai cru qu'il s'agissait d'un groupe), donc, tu peux très bien utiliser deux microphone croisé reproduisant la captation naturelle des oreilles humaines, s'il n'y a pas de bruit parasites audible dans cette pièce, tu peux très bien avoir ce microphone à une distance raisonable qui soit hors du champs de la caméra et filmer en même temps. Avec ce type d'appareil de captation sonore de qualité, tu peux obtenir un bon résultat, la condition, c'est qu'il n'y ai pratiquement pas de bruit parasite audible dans cette pièce (par exemple, là où je suis en se moment, j'entends quatre bruit parasites: le ventilateur de l'ordinateur de bureau de ma copine, à moindre mesure, le ventilateur de mon ordinateur portable (quand il se lance), en tendant l'oreille, le bruit que fait le compteur électrique et en tendant vraiment l'oreille (je le dis parce que je le sais, mais là, avec les autres bruit parasite, je ne l'entends pas), le transformateur de mon ordinateur portable).
Remarque, plutôt que d'acheter un ordinateur silencieux, tu peux très bien le mettre simplement dans une autre pièce, lancer l'enregistrement tant audio que vidéo, entré dans la pièce d'enregistrement où il n'y a que le microphone et la caméra et jouer sa musique. Une autre solution consiste à n'avoir que les périphérique nécessaire dans la pièce où tu enregistre (clavier et écran par exemple, au fait, un clavier avec des boutons spécifique à la musique, voire à l'enregistrement, c'est intéressant).
Je viens de pensé qu'il y a aussi certaines lampes qui font du bruit (un néon est l'exemple le plus évident, mais ce n'est pas le seul).
Par ailleurs, utiliser des microphones omnidirectionnel qui pointe sur l'instrument permet d'amoindrir la captation des bruit parasite, c'est en ça que c'est intéressant, dans une captation de plusieurs instruments, ça permet aussi de capter principalement l'un d'eux pour, après, pouvoir, le mieux possible, syntoniser (choisir le niveau sonore de chaque piste pour que l'on entende le tout harmonieusement, soit, "mixer" en anglicisme vulgaire).
Tu peux aussi (et c'est possible avec Audacity), enlever le bruit de fond, mais, à moins de très bien faire ça (soit de savoir suffisamment bien régler les paramètres de cet effet), comme ça supprime aussi une partie du son que tu veut garder, le son est moins naturel.
Tant que j'y pense aussi, on conseil de mettre les câbles électrique à la plus grande distance possible des câbles audio (et probablement vidéo aussi) car le champ électrique des câbles électrique peut perturber les câble médiatique qui produira des bruit parasite (ou bruit de fond) en audio et peut-être des parasites visuel en vidéo.
"Est-ce que, dans le numérique, je peux modifier le passe-haut et le passe-bas dont tu parles ? (micros, carte son, logiciels, etc.) Ou est-ce que les limites sont fixées dans la plupart des ordinateurs ?"
Pour ceux dont je parles, non, tu ne peux pas les modifier puisque ça fait partie des standards des supports en 44100 hertz. Par contre, tu as des passes-hauts et des passes-bas intégrés dans la plupart des microphones pour cibler le spectre de fréquence de l'instrument que l'on veut amplifier ou enregistrer (c'est aussi un moyen d'éliminer les bruits parasites dans d'autres fréquences qui n'ôtes pas de façon notable le "naturel" du son) et enfin, il existe des effets passe-haut, passe-bas, tant numérique que "analogique", quoi que ces derniers ne doivent plus être évident à trouver, il y en a dans Audacity notamment.
"Les infra-basses, c'est celles qu'on ressent quand on est à côté de Guggen Musik (gros tambours à Carnaval) dans la rue ? Ou quand un gros ballon de baudruche plein d'hélium éclate à côté de nous ?"
Pour le ballon de baudruche, clairement non, ce que tu ressent, c'est la pression due au gaz, le peu d'infra-basse harmonique (s'il y en a) on ne doit pas pouvoir le sentir tant c'est infime.
Pour le Guggenmusik (je ne connaissais pas et de ce que je lis sur wikipedia, c'est plutôt un groupe de fanfare déguisée, le tambour doit tu parles étant certainement la grosse caisse), c'est possible, les grosses-caisses de fanfares ont une note souvent assez basse, il est donc possible que l'on ressente la résonance harmonique dans les infra-basse, mais je ne sais pas trop, c'est peut-être aussi, une onde de choc causée par la baguette frappent la peau de la grosse caisse qui se répercute dans l'air.
Tu peux installer le logiciel beep (si ce n'est déjà fait), mettre le son à fond ouvrir un terminal et faire:
beep -f 20 -l 4000
Tu aura une idée de ce que c'est qu'un son à la limite entre son basse et infrason, normalement, tu devrais tant le ressentir que l'entendre (si les baffles de ton portable sont assez puissant pour que tu le ressente, éventuellement, tu peux les toucher pour voir si tu le ressent). À vrai dire, avec mon portable, beep ne marche pas, je n'ai donc pas pu essayer (il faudrait d'ailleurs que je creuse la question de pourquoi ça ne marche pas).
Pour expliquer la commande, c'est faire un "beep" (un son synthétique) à 20 hertz (argument -f) durant 4 secondes (4000 millisecondes, argument -l). Note aussi que c'est mauvais pour un baffle d'avoir une même note (et donc la même tension) trop longtemps d'affiler, évide donc d'avoir un argument -l trop grand.
"Qu'est-ce exactement que le lissage des ondes ?"
Je ne sais pas si tu connais les éditeurs vectoriel tel que Inkscape, et bien, lisser une onde en en numérique, c'est un peu la même chose que de modifier la courbe entre deux point d'une image vectoriel, plutôt que d'avoir des sortes de ligne droite qui joigne un point à un autre, on courbe d'une tel manière que le son paraisse plus naturel. Ceci-dis, tu n'a pas trop à te tracasser de ça, tout les logicielles d'enregistrement (voire les cartes sons, je ne sais pas exactement où ça se fait) font ça sans qu'on s'en rende compte, on n'a même pas le choix de le faire ou pas.
"Le violon électrique, est-ce encore de l'analogique ?"
Comme je l'ai expliqué plus haut, ce n'est ni analogique, ni numérique, c'est un flux sonore qui a été capté électriquement par un microphone et qui est transporté électriquement jusqu'à soit un diffuseur (qui lui à, en effet un rendu analogue, mais de là à parler d'analogique... ça serait peut-être un abus de langage, je ne sais pas trop), soit un enregistreur (analogique ou numérique).
Par contre, si on utilise un effet numérique que l'on ajoute dans le circuit électrique, c'est du numérique remit en analogique, c'est à dire que le signal sonore est copié en numérique et ré-envoyé en temps réel en onde électrique avec la modification au son que l'effet fournit numériquement. Mais, ce n'est pas la même chose que d'enregistrer en analogique pour en suite enregistrer la copie analogique en numérique (ce qui est la pire chose à faire d'après moi), car, on est passé du son à l'électrique au numérique, à l'électrique, au numérique, on n'est donc jamais passé par les défauts de l'enregistrement analogique (même si on est passé deux fois par les défauts de l'enregistrement numérique, qui ne seront pas forcément cumulatif si la même fréquence est utilisée les deux fois).
Par ailleurs, la différence entre un violon et un violon électrique, c'est que ce dernier d'une part à le meilleurs microphone possible (en fonction de la gamme de prix) pour ce type d'instrument, microphone qui est incorporé à l'instrument, donc, le mieux placé possible et sans l'encombrement d'un support pour microphone, par contre, à moins d'utiliser du sans fil, il y a tout de même l'encombrement du câble, enfin, il n'a pas de caisse de résonance puisqu'on l'utilise en général avec un amplificateur qui rend celle-ci inutile. Ceci-dis, il y a très probablement des différences de sonorités qui font qu'on peut préférer un violon classique à un violon électrique pour avoir la sonorité que l'on veut, je ne sais pas trop ce qu'il en est, je sais que c'est le cas pour les guitares, une guitare électrique sans caisse de résonance n'a pas le même son du tout qu'une guitare acoustique enregistrée avec un microphone prévu à cet effet, il y a aussi les guitare électroacoustique qui est entre les deux et dont le son est relativement similaire aux guitare acoustique (quoi que je n'en ai jamais entendu une classique, je n'ai jamais entendu que des guitares électroacoustique de type folk, je ne sais même s'il en existe avec des cordes en nylon).
'et quand une personne utilise un "sampler" (durant un show, par exemple), est-ce encore de l'analogique ?'
Tout dépend de l'échantillonneur (en français) en question, certains (les plus vieux) sont analogiques, la plus part actuellement sont numériques.
"Admettons qu'on joue du violon acoustique (pas électrique) dans une petite salle (comme ma chambre), comment positionner le(s) micro(s) ?"
Si je ne me trompe, il existe des microphones que l'on peut fixer à l'entrée de la caisse de résonance et qui sont à la même distance les uns des autres que des cordes du violon, c'est, à priori le même type de micro que ceux des violon électrique, mais prévu pour s'adapter aux violons classique, ce genre de microphones à une petite fiche de type jack (3,5mm) très peu encombrante, il faut donc avoir un câble qui va de cet type de fiche au type de fiche de la carte son, comme ce type de câble entre deux fiche différente doit être rare, on peut soit acheter des adaptateur pour utiliser un câble plus classique, soit faire ce câble soi-même en achetant câble et fiches séparément, il faut évidemment un fer à soudé et un minimum de documentation sur les fiches en questions (histoire de ne pas mélanger point chauds et points froids et autres subtilités du genre), ça n'est pas très compliqué à faire. En tout cas, c'est ce type de microphone que l'on utilise sur les guitare acoustiques et je ne vois pas pourquoi ça serait différent pour un violon.
Sinon, à priori, pointer le micro vers l'ouverture de la caisse de résonance (on dit la rosasse aussi pour un violon?) et éviter de bouger en jouant. Il doit aussi probablement y avoir des micro qui se fixe à la caisse de résonance par un système de pince pour pouvoir bouger comme on veut.
N'ayant jamais enregistré un violon, je ne sais pas trop ce qu'il en est, il faut se renseigner pour chaque instrument (sur internet, en magasin de musique, auprès de connaissances, ...). Tout à l'heure, j'ai été dans un magasin de musique pour me renseigner sur un trombone à coulisse et tant que j'y était, j'ai posé des question sur les microphones, le vendeur n'avait pas trop l'air de s'y connaître à ce sujet, son domaine, c'est les cuivres en eux-même apparemment, mais ce n'est pas grave, je connais un vendeur dans un autre magasin qui s'y connais mieux en microphones.
Ça me fait pensé qu'avec le temps on apprend aussi à savoir vers qui se tourner pour avoir les bons renseignement. Par exemple, j'ai un jour voulu essayé un effet qui permet d'avoir un volume sonore plus élevé d'un coup en appuyant sur une pédale, en général, on utilise ça avec une guitare électrique et par acquis de conscience, je demande au vendeur si ça ne pose pas de problème avec une basse, il me dit que non, la première répétition où je l'essaye, d'un coup, le cabinet de mon ampli basse ne sort plus un son (je ne sais pas ce que ce qui ne va plus, je sais juste que ce n'est pas l'ampli, mais bien le cabinet qui est abîmer, j'attends qu'un technicien, au dernière nouvelle en vacance, me dise ce qu'il en est), après cette histoire, je sais depuis que ce vendeur n'est absolument pas fiable dans ce qu'il dit.
"Puis, avec quel(s) logiciel(s) libre(s) mettre le tout en fichier flac ?"
Il n'est peut-être pas possible d'enregistrer directement en sous ce format, mais, il est toujours possible d'exporter dans ce format.
Je pense avoir déjà dit qu'Audacity, de par sa simplicité est un bon outils pour commencer, après, il y a de meilleurs programmes, mais je ne sais pas trop lesquels, il se trouve que je n'en ai jamais utilisé de libre (il y a pas mal de temps que je n'ai plus enregistré, dans mon groupe actuel, c'est le guitariste qui s'occupe de ça, je fournis juste la connectique et les microphones et lui est sous un système d'exploitation non-libre et utilise un programme non-libre; tant qu'on ne fait qu'enregistrer des répétition, ça ne me dérange pas, le jour où l'on voudra faire un enregistrement officiel, je vais me tracasser d'enregistrer avec des logicielles libres).
"En fonction de quels critères (lisibles sur l'emballage ; mis à part celui d'être omnidirectionnel) acheter un micro dans un magasin ? voire un magasin spécialisé ? voire sur l'internet ? si on veut garder la meilleure qualité lors de l'enregistrement."
Souvent, on demande au vendeur ce qu'il a comme microphone pour tel instrument et il explique les différents choix possible et, la plus part du temps, ça se limite à choisir entre tel ou tel marque car chaque marque à en général un modèle par instrument (ou par gamme d'instrument suffisamment semblable que pour ne pas nécessiter un microphone différent), personnellement, comme je l'ai dis dans mon précédent commentaire, je préfère me cantonner (autant que possible) à une seul et même marque pour tout les microphones afin d'avoir un son d'ensemble cohérent. Parfois, dans une même marque, il y a plusieurs gammes de prix avec chaque fois plus de précision ou une meilleurs qualité pour un prix plus élevé, chez les bonnes marques, l'entrée de gamme est amplement suffisante pour enregistrer chez soi, c'est vraiment pour les studios d'enregistrements que les autres gammes peuvent s'avérer nécessaires (autrement dit, pour une qualité des plus professionnelle dans un environnement tout aussi professionnel), ceci-dis, il n'est pas impossible que l'entrée de gamme peut avoir des spécificités qui le rendent inintéressant par rapport aux spécificité d'une gamme supérieur, ça dépends, je ne voudrais pas faire de généralités.
"Vais-je utiliser le même type de micro pour la voix (le chant) et le violon, la guitare, le piano, etc. ?"
Ça dépends ce que tu veux encore une fois, si tu opte pour un duo de microphones type "oreilles humaine", tu utilisera ceux-ci pour enregistrer tout. Si tu opte pour des microphone pour tel ou tel instrument, bien sûr que tu aura un microphone par instruments et qu'il sera spécifique à celui-ci (par exemple si on enregistre une cymbale avec un microphone de grosse caisse, on ne la reconnaîtra pas tant ce microphone est aux antipodes au niveau des filtres passe-haut et passe-bas, par contre, le même microphone pour grosse caisse peut tout à fait convenir pour une basse électrique, dans la marque que j'ai ils parlent de microphone pour instrument basse et parle de grosse caisse, de basse électrique et de tuba et celui-ci se trouvait dans un kit de microphones pour batterie).
Tu peux aussi combiner les deux technique, c'est un peu le principe des microphones de têtes des batteries: on a un microphone par caisses et (si ne veut pas trop dépenser d'argent), deux microphones de têtes qui capte toute les cymbales ainsi que le son générale de la batterie en stéréophonie, de sorte que l'on peu donner un rendu plus ou moins naturel et avec plus ou moins de présence des cymbales lors de la syntonisation. On peut aussi mettre un microphone de cymbales pour certaines cymbales voire toute en plus des microphones de tête qui serviront alors exclusivement à ajouter ou retirer du naturel au son de la batterie (et on les placera à priori différemment). Enfin, si on a vraiment que ça a faire de son argent, on peut avoir 4 ou 5 microphones de tête en plus de microphones de cymbales et de caisses pour faire un son 5.1. Dans ton cas, tu pourrais avoir un microphone spécifique à chaque instrument plus une paire de microphones de type "oreilles humaine" qui lui servirait pour le naturel en stéréophonie, ça te permettrait de commencer par enregistrer avec ce type de microphones (si ça t'intéresse) et quand tu as les moyens d'acheter des microphones pour un instrument, tu l'achète et ainsi de suite petit à petit pour chaque instrument que tu veux enregistrer. Ceci-dis, je n'ai jamais expérimenté cette idée, on en a juste déjà parlé avec le chanteur de mon groupe actuel, donc, je ne garanti absolument pas que, pratiquement, c'est une bonne idée, avant de te lancer là dedans, il vaut mieux demander l'avis de personnes plus expérimenté que moi dans le domaine de l'enregistrement.
"(j'imagine qu'il faut aussi se procurer les supports pour ne pas devoir tenir le micro en main au-dessous du menton)"
Ça dépend vraiment d'un instrument à l'autre, pour les grosse caisse de batterie, il y a même différents types de support exprès pour eux, le système le moins cher, c'est ceux que l'on fixe à la grosse caisse (un système équivalant à ceux des tomes en moins pratique) et le système normal, c'est un petit pied qui mettra le micro à hauteur du trou que l'on a fait dans la grosse caisse (dans le cas où l'on a une peau à l'arrière de la grosse caisse, ce qui est le cas dans la majorité des cas, certains ont une peau, mais ne font pas de trou, ça donne un son différent, on peut aussi profiter du trou pour placer le microphone à l'intérieur de la grosse caisse, on fait souvent ça dans le métal, ce sont des choix que chacun fait en fonction du résultat qu'il veut obtenir, de toute façon, ce n'est qu'un exemple, il semble que la batterie ne t'intéresse pas vraiment).
"Je viens de trouver cette page sur les microphones. On dirait que le microphone à condensateur me conviendrait."
Même remarque concernant le lien non sémantique ;-).
Ce serait peut-être un son trop précis qui capterait trop de détails indésirable comme les bruits parasites. Mais c'est possible que ça convienne bien à tel ou tel instrument, je n'en sais rien, je ne connais que les instruments que j'ai déjà enregistré (batterie, basse électrique, guitare électrique et chant), j'ai aussi déjà enregistré d'autres instruments, mais pas avec les bons microphones et le résultat s'en est bien sûr fait ressentir.
Sinon, cette documentation semble bien faite.
Il y a beaucoup de choses intéressante sur ce site, mais parfois, ce ne sont que les avis de gens qui manquent nettement d'objectivité (là, c'est un article, ce n'est pas pareil, c'est de toute évidence rédigé par quelqu'un qui s'y connais bien voire très bien), donc, quand il s'agit de matériel spécifique, attention que les avis sont subjectifs et qu'ils peuvent induire en erreur, rien ne vaut et le conseil de professionnels que l'expérience et les connaissances ont rendu objectif et d'essayer soi-même pour avoir ce que l'on veut soi.
À vrai dire, c'est très important de savoir ce que l'on veut, il ne faut pas hésiter, quand on parle à un professionnel (que ce soit un vendeur de magasin de musique, un ingénieur du son ou autre) à donner des exemples de ce que l'on veut, voire à les faire écouté s'il ne connais pas.
"Bon, peut-être confonds-je qualité et fidélité ?"
À vrai dire, fidélité, c'est un peu un mot fourre-tout en matière de son, il m'arrive de l'utiliser aussi à tord et à travers par habitude, mais, il ne faut pas s'y fier. Je préfère parler authenticité du son ou de qualité, selon ce que je veux dire vraiment quand, par réflexe, j'aurais tendance à dire "fidélité".
"Au fond, qu'est-ce qui fait qu'une personne soit mélomane ou pas ? beaucoup de personnes aiment écouter de la musique, mais sont-elles pour autant mélomanes ?"
Un mélomane est passionné, il ne se contente pas d'écouter passivement. Maintenant, il y a tout type de mélomanes, musicien ou pas, qui s'y connaît dans l'histoire de la musique, dans la physique du son, dans les instruments existants, dans l'interprétation, et caetera, le tout dans tel ou tel styles musicaux (certains étant plus éclectique que d'autres), il est impossible de définir précisément ce qu'est un mélomane, mais quelqu'un qui écoute la musique par divertissement, sans plus, n'est pas un mélomane, c'est juste un amateur de musique.
"Je n'ai pas de baffle. A vrai dire, je n'en vois pas l'urgence. J'ai l'habitude de sortir le son de l'ordinateur portable"
Et il sort dans quoi d'après toi le son de ton ordinateur portable ;-)?
"ou des écouteurs aux oreilles (ou du téléphone portable)."
"Peut-être pourrai-je me procurer des hauts-parleurs ou enceintes (de nouveau, comment choisir ?), mais c'est loin d'être urgent pour moi.
Je n'ai pas de casque, comment le choisir (en fonction de quels critères techniques) si j'arpente les magasins ?"
L'un comme l'autre (enceinte de qualité et casque de qualité) sont indispensable pour enregistrer, le casque pour l'écoute détaillée piste par piste et les enceintes pour avoir une idée globale de comment ça sonne tout ensemble (il faut aussi écouter tout ensemble au casque pour faire attention aux détails qui pourrait mal sonner). Si tu écoute avec des baffles ou écouteur de moindre qualité, tu passera à côté de détails problématique que d'autres, ayant un tel matériel, entendrons.
De plus, des baffles de très mauvaise qualité (d'un téléphone portable, d'une chaîne de très mauvaise qualité, d'un ordinateur portable) sont également (presque) indispensable et ce, afin de s'assurer qu'on entends suffisamment bien ce qu'il faut dans de tels conditions qui sont les seuls que certaines personnes utilises (les baffles l'ordinateur portable n'étant pas le pire à vrai dire).
Comment choisir? Il faut choisir une marque réputée et un modèle de qualité, c'est tout ce que je peux dire pour les baffles, pour les casques, il y a différents type, les ouvert, semi-ouverts et fermés, pour enregistrer de la musique, c'est mieux des fermer, mais il faut aussi voire à ce qu'on les entendent le moins possible de l'extérieur afin d'éviter autant que possible que le son émit par le casque soit capté par les microphones, surtout si on enregistre "au clic" (j'explique plus loin de quoi il s'agit; bien sûr, il y a moyen de supprimer les "clic" enregistré lors de la postproduction, mais, comme pour la suppression de bruit de fond, il vaut mieux éviter. Enfin, je conseil aussi d'aller dans un magasin d'instrument de musique pour acheter un casque car les vendeurs y sont de meilleurs conseil dans le cadre d'un enregistrement que des vendeur d’électroménager (même spécialisé dans le son).
"Quand tu parles de peau, tu parles juste de la caisse (à laquelle je n'ai jamais joué) ? ou le mot "peau" a-t-il une autre signification en musique ?"
Je parles de la peau d'un instrument à percussion (en l’occurrence ceux d'une batterie puisque c'est de ça que je parlais).
"Les microphones sont reliés à l'ordinateur portable ? ou à une autre machine ? faudrait-il un ordinateur avec beaucoup de prises (entrées directes) ?"
Là encore, ça dépends de ce que tu fais comme choix, une entrée jack 3,5mm stéréophonie peut suffire avec un double microphones de type "oreilles humaine" puisque c'est de la stéréophonie, mais si tu enregistre plusieurs instruments avec des microphones séparés, il vaut mieux avoir une carte son multiple-pistes. Je crois que jusqu'à 4 entrées, on en trouve des internes à l'ordinateur (de bureau, ça n'existe pas pour les ordinateur portable), au delà, il faut une carte son externe, personnellement, j'hésite à en acheter une de 16 pistes, là, si tu veux, c'est une machine qui fait l'interface entre tes microphones et ton ordinateur et tu peux brancher cette interface tant sur un ordinateur portable qu'un ordinateur de bureau. Tu peux aussi acheter un enregistreur digital multiple-piste qui enregistrera sur tel ou tel support en fonction de l'enregistreur, support dont tu pourra récupérer les données sur ton ordinateur pour les traiter (syntonisation, matriçage, et caetera). Dans à priori tout les cas, le problème récurant est la présence de brevet dans ce genre de matériel.
Si tu optes pour des microphones spécialisés par instrument, renseignes-toi, avant d'acheter une carte son, concernant les microphones de chaque instruments que tu pense enregistrer un jour pour savoir s'il y a besoin de prise fantôme (soit avec un courant de 48 volts) ou pas, car s'il y en a besoin et qu'il n'y en a pas, tu va devoir passer par un appareil qui ne fait que ça, ça coûte franchement cher pour ce que c'est. Si tu es sûr de ne pas en avoir besoin, ne te tracasse pas de ça dans le choix de ta carte son, si tu n'est pas sûr, alors, mieux vaut acheter une carte son où c'est possible d'en avoir (quitte à ce que leur nombre sur la carte son soit inférieur au nombre de pistes, pour moi, c'est une mauvaise idée, mais ça peut convenir, c'est bien ce qu'il y a sur l'enregistreur digital du guitariste de notre groupe: il y a 8 pistes dont 2 qui peuvent être fantôme, c'est limite je trouve, mais ça suffit tant que maintenant).
"De prime abord, je pensais enregistrer simultanément des instruments joués simultanément. Y a-t-il souvent besoin d'enregistrer séparément puis de superposer par la suite ? [Là, par contre, j'ai beaucoup à apprendre. Je n'ai que peu utilisé Audacity et autres logiciels du genre.]"
Depuis les années 1970, c'est quasiment généralisé dans la majorité des styles musicaux. Ceci-dis, rien n'empêche d'enregistrer tout ensemble, c'est juste moins évident à syntoniser (même avec un microphone par instrument) puisque les microphones d'un instrument capte en partie les autres (même si l'instrument qu'il est sensé capté est le plus en avant sur la piste en question).
Et il y a des degrés aussi, par exemple, j'ai envisagé un moment donné d'enregistrer un instrument de batterie à la fois et d'avoir des trucs en caoutchouc à la place des autres instruments de batterie pour ne pas enregistré le son, c'est assez extrême et il faut avoir le temps, mon frère (qui est batteur) à réfléchi sérieusement à la question et a refusé de le faire. Á contrario, j'ai lu une entrevue d'un groupe où le chanteur se disait libéré d'avoir un ingénieur du son qui lui a dit "ce n'est pas si grave si au lieux d'enregistrer avec un casque sur la tête, tu enregistre avec des baffles qui joue l'enregistrement des autres instruments", ce que cette ingénieur du son n'a pas dit, c'est que c'était pour lui principalement que ça compliquait les choses, la gravité, il la percevait donc lui au premier chef et s'il se sentait compétant pour gérer ça, tant mieux pour le chanteur en question, moi, je dirais que c'est tout ou rien, soit on enregistre le groupe en condition réel et je me casse la tête après pour tout syntoniser correctement, soit on enregistre tout séparément avec un casque parce que je ne vais pas plus me casser la tête à cause du chanteur alors que les autres musiciens ont enregistré au casque, si on enregistre séparément, on le fait dans les meilleurs condition possible pour que le produit final soit le mieux possible avec mes compétences de non-ingénieur du son professionnel et mon avis est bien sûr des plus subjectif là.
Pour ce qui est d'avoir beaucoup à apprendre, de toute façon, il y a beaucoup à apprendre, évite de te lancer à corps perdu dans l'idée d'enregistrer dès que tu en connais un minimum, essaie d'en savoir le plus possible et quand tu te sens près pour ça, tu fais tes premières expériences, tu continue en parallèle à te documenté et quand tu te sens près pour ça, tu enregistre de manière définitive et d'enregistrement en enregistrement, entre les deux, tu continue à te documenté et petit à petit, tu te spécialise. Je pense avoir environ une dizaine d'enregistrement à mon actif (je n'ai pas vérifié, ni même compter, peu importe de toute façon, c'est juste pour donner une idée) et j'hésite encore à enregistrer un autre groupe qu'un dont je fais partie.
"De prime abord, je n'utiliserais pas d'absorbeur."
J'ai l'impression que le naturel compte pour toi, c'est très bien, mais garde à l'esprit qu'un enregistrement déforme forcément, comme je l'ai dit, fait tes propres expériences, peut-être qu'un jour, tu changera d'avis, ou pas, je n'en sais rien, seul le temps le dira.
"Ah ? j'espère pouvoir enregistrer le tout (video et audio) en même temps en un fichier video (webm, par exemple)."
"Ou bien faut-il séparer car le micro doit être proche de l'instrument tandis que la caméra doit être plus éloignée ?"
C'est possible, mais alors, soit tu accepte que l'on voit tout l'attirail d'enregistrement audio, soit, au niveau microphones, c'est totalement différents, tu ne va plus devoir te baser sur l'instrument enregistré, mais sur des microphones, comme par exemple les "perches", qui permette de cibler un point plus ou moins précis et distant du microphone lui-même. C'est tout à fait une autre façon de procéder, c'est une forme de captation possible, mais c'est de plus en plus rare que l'on fasse comme ça en musique, en captations de concert professionnelles par exemple, on laisse un ingénieur du son enregistrer tout ce qui est audio, on film avec plusieurs caméra et en suite, on met le tout ensemble en postproduction (ce qui reviens à la solution où l'on accepte de filmer tout l'attirail audio, ce qui n'est pas grave en soi, pour les instruments électrique, je trouve par exemple ridicule ces clips vidéos où l'on voit les guitaristes et bassistes avec des instruments électrique non branché à quoi que ce soit, ou dans certains concerts, c'est du pré-enregistré et le débat entre les monteurs et le metteur en scène, c'est: est-ce qu'on branche tout comme pour du vrai pour que ça ai l'air réel ou pas et sinon, on fait quoi exactement, j'ai un copain monteur de scène qui a déjà eu le coup et on lui a dit: surtout, vous ne branchez pas les baffles aux ampli, pour le reste, faut quand même que ça ai l'air crédible, c'est ridicule aussi, c'est le monde du spectacle...). Par ailleurs, enregistrer avec des microphone prévu pour faire des entrevue filmée en extérieur, c'est un peu comme si on enregistrait tout avec un microphone pour chant, le résultat sera nécessairement moins bon qu'avec des microphone spécifique à chaque instrument.
"Ce n'est pas vraiment facile de reproduire exactement au même tempo'
Avec un métronome, si c'est facile (à moins de ne pas être habitué, mais comme tout, ça s'apprend avec simplement de l'entraînement), en studio d'enregistrement, il y a deux manière de procéder pour un enregistrement de chaque instruments séparément: "au clic", c'est à dire au métronome électronique ou avec une piste témoin, c'est à dire qu'on enregistre une fois le morceau avec un instrument important pour le groupe ou tout le groupe, sans se tracasser du son et en laissant passer quelques fautes non-dérangeant pour aller plus vite, en suite, chacun enregistre en écoutant la piste témoin. Lors de mon premier enregistrement en studio (où je n'enregistrais pas donc), on a fait les deux, j'avais prévu une boite à rythme (c'est plus sympathique qu'un métronome) et le claviériste à fait une piste témoin, on avait donc les deux au casque plus les instruments déjà enregistré avant si on le désirait. Maintenant, je suis plus partisan de la prise témoin, c'est plus naturel qu'un clic.
'(et ça prend deux fois plus de temps)."
Vu le temps que prends un enregistrement et la captation et le montage vidéo, c'est franchement négligeable si ce n'est que deux fois plus de temps. Et si on compte le temps de répétition, c'est d'autant plus négligeable.
Pour bien faire les choses, il faut prendre le temps de les faire comme il faut, surtout si tu n'a pas la contrainte de payer un studio d'enregistrement à l'heure ou à la journée, il ne faut vraiment pas s'arrêter à ce genre de chose. Ceci-dis, je ne dis pas pour autant que ce type de façon de faire te conviendra, je dis juste que le facteur "perte de temps" occasionné par cette technique d'enregistrement est vraiment un argument qu'il ne faut pas prendre en compte si on vise la qualité.
Pas besoin de EasyTag : Rhythmbox (le lecteur de musique par défaut dans Trisquel) est capable d'éditer les méta-données. Un clic droit sur le ou les morceaux, on choisit "Propriétés" et on les édite.
Pour ce qui est du logiciel, pourquoi ne pas essayer MusiX GNU/Linux, une distribution 100% libre (comme Trisquel) mais spécialisée dans la production audio et même vidéo (avec Kdenlive, Avidemux et Cinelerra) :
http://musix.najval.net/musix/isos/MUSIX_GNU+Linux_3.0.1_Stable.iso
Pour ce qui est spécifiquement de l'écriture de partition, je crois que rien n'égale GNU LilyPond : http://lilypond.org
C'est un langage compilé. Façon LaTeX mais pour des partitions. Tu veux probablement l'appréhender avec une interface graphique. Là encore le projet GNU vient à la rescousse avec GNU Denemo : http://www.denemo.org
Tout cela est bien sûr présent dans les dépôts Trisquel (et, j'imagine, par défaut dans MusiX GNU/Linux).
Épona Lug Catubodua,
je ne fais QUE rappeler certaines choses :
L'égualisation RIAA utilisée sur TOUS LES DISQUES VINYLES est une courbe qui baisse progressivement les fréquence de 20 Hz à 20 kHz.
https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89galisation_RIAA
Il faudrait donc logiquement s'assurer que le correcteur RIAA inverse qui est tout bonnement un circuit électronique aille au delà de 20 000 kHz pour entendre les fréquences supérieures. Même problème avec la cellule. Je ne parle même pas des capacités de l'amplificateur et des enceintes.
Sans oublier le souffle d'une bande magnétique.
Pour la calibration d'un Nakamichi 1000ZXL (j'ai pris petit) le test de tonalité est à... 15kHz !
http://vintagecassette.com/nakamichi/1000zxl_limited
Quand il y aura du matériel capable de faire hurler un chien quand on passe l'harmonica de Bob Dylan, vous me ferez signe (qui ne connaît pas le fameux "Mademoiselle Nobs" des Pink Floyd ? http://www.youtube.com/watch?v=hMFP0dg97nI)
Après tu vas avoir des gens qui peuvent discuter pendant des heures entre la reproduction numérique en DSD et en PCM. Ouais...
Sans parler des fumeuses théories new-ageuses sur le 432Hz...
Certainement Shokin n'avait pas pour intention d'enregistrer la Callas, mais juste d'avoir un peu d'information pour pas avoir trop de problèmes.
On peut tout à fait avoir un son correct avec du matériel vintage acheté sur le bon coin plutôt que ces merdes innommables que l'on trouve à la Fnac qui se branchent directement depuis le PC. Il y a aussi le facteur du budget qui intervient.
Les débats audiophiles sur le net tournent souvent à l'hystérie.
Ce qui moi me fait surtout chier, ce sont ces gens qui polluent véritablement l'espace publique (postes, métros, trams) avec le HP de leur portable pour passer de la musique de merde. Y'en a qui arrivent même à chasser de leur quartier des dealers avec un haut parleur à leur fenêtre diffusant un opéra.
Même la musique dans les supermarchés, j'arrive plus à supporter.
Pas besoin de savoir entendre les fréquences à 24 kHz pour trouver que c'est scandaleux.
On compte pas autant de mécontents sur le web sur ces incivilités sonores et cette musique de barbare (j'y inclus les "The voice" et consorts).
La qualité de la reproduction est certainement discutable, mais ce que j'entends musicalement autour de moi devient proprement inacceptable (et de la distorsion bien comme il faut, je sais en passer).
Je ne vois pas ce que cette égalisation vient faire là dedans, il ne s'agit pas de passe haut ou passe bas qui coupent tout ce qui dépasse un certain seuil, j'ai essayé de normaliser à -20db sur un enregistrement au départ fait avec un enregistreur cassette pour voir et ça reste parfaitement audible, les fréquence dépassant 20000 Hertz reste donc, logiquement, tout à fait audible pour qui sais les entendre pour finir par ne plus être audible si la courbe continue de diminuer au delà de 20000 Hertz, mais à un niveau tel que de toute façon, aucun être humain ne l'aurait entendu.
Il y a bien sûr des tas de problèmes qui pourrait être amélioré aux différentes techniques analogiques, le problème étant qu'il n'y a plus vraiment d'avancée technique depuis l’avènement du numérique, c'est surtout ça qui me pose problème.
Mon père (qui était également mélomane) m'avait parlé de ce morceau ("Mademoiselle Nobs"), du temps où internet n'existait pas, je ne l'avais jamais entendu et si mon père m'avait dit le titre, je l'avais oublié depuis. Bref, merci de me rappeler un souvenir de mon regretté père.
Bien sûr qu'on peut acheter du matériel d'occasion pas cher et que ça peut être très bien, mais alors, mieux vaut savoir ce qu'on achète et pour ça, le mieux est de s'intéresser à la question.
Je suis bien d'accord que c'est insupportable la musique qui envahit l'espace publique, je prends souvent le train et il m'arrive de changer de place, voire de me lever de ma place pour ne pas en retrouver une, non pas à cause de haut parleurs (ce qui arrive aussi, mais plus rarement), mais à cause d'un casque de quelqu'un qui écoute de la musique avec un baladeur qui va trop fort pour moi (c'est incroyable ce besoin de se bousiller les oreilles en emmerdant les autres). Je pense même que le droit au calme devrait être dans toutes bonnes constitutions voire dans les droits de l'homme, c'est hélas utopique.
"au fait quel "niveau" as-tu"
Pour ce qui est du solfège, j'ai juste l'habitude de lire la clé de sol sans dièse ou bémol à l'armature, sans triolets.
Pour ce qui est du violon, je suis au stade à m'entraîner à placer les doigts de la main gauche au bon endroit précis.
Pour ce qui est de la guitare, j'ai commencé d'apprendre certains accords, mais je dois encore beaucoup m'entraîner pour les enchaîner. Je n'ai pas encore vraiment la technique à la main droite.
Pour ce qui est du piano, je sais juste jouer la mélodie chantée avec la main droite. Par exemple (Frère Jacques) : do, ré, mi, do, do, ré, mi, do, mi, fa, sol, ...
Pour ce qui est de la flûte droite, je dois m'entraîner à bien boucher les trous avec les doigts.
C'est donc niveau débutant en général.
"quand on fait un lien, on décrit toujours celui-ci dans le morceau de phrase qui le lie, ça permet une meilleurs indexation par les moteur de recherche."
Ah ! ok, je ne connaissais pas ce truc.
"Quand au contenu, déjà, à moins que ça ne t'intéresse vraiment, tu peux passer toute la première partie et la deuxième, si tu aime la physique, tu va adorer, sinon, tu va te casser la tête pour comprendre le son de manière théorique sans rien avoir de pratique,"
Je ne connais pas beaucoup la physique (je n'en ai plus fait après le gymnase) mais j'aime la mathématique.
Je vais essayer TuxGuitar et Lilypond avec Denemo. MusiX Gnu/Linux, oui, j'avais pensé à essayer cette distribution 100 % libre.
Pour enregistrer en numérique, suffit-il d'un logiciel libre (lequel ?) et d'un microphone relié par un câble à l'ordinateur. J'ai des ordinateurs portables avec pour prises des prises USB et des prises pour écouteurs (petits trous ronds).
Microphones, câbles et supports ad hoc et écouteurs devraient suffire pour commencer ? (les enceintes, ce sera pour plus tard ; je ne veux pas déranger les voisins ; en plus, là où je suis c'est une maison âgée où l'isolation sonore est moyenne)
"Ce qu'il y a, c'est que le disque compacte est limité à 44100 hertz dans son échantillonnage du son,"
En fait, pour ma part, mettre des morceaux enregistrés sur disque compact ne fait pas partie de mes buts. En gros, l'idée sera d'enregistrer des morceaux en flac (avec la qualité originale/meilleure), puis de les partager sur l'internet en libre téléchargement (chaque personne sera, par la suite, libre de les transformer en mp3/ogg/etc. si elle veut perdre de la qualité pour qu'ils prennent moins de place ; dans le domaine public sous la licence CC0).
"Donc, c'est une fois que le produit est fini qu'on diminue le nombre de hertz de échantillonnage pour pouvoir le mettre au format de disque compact"
Si je n'ai pas besoin d'aller graver sur disque compact, je ne suis donc pas obligé de diminuer le nombre hertz ? Ou suis-je quand même limité aux passe-bas et passe-haut dont tu parlais si je veux faire des fichiers flac ?
Je connais l'existence d'Inkscape, mais ne l'ai encore jamais utilisé.
Effectivement, rajouter des effets ne m'intéressent pas encore.
Oui, j'ai parlé de plusieurs instruments car j'en ai à disposition, mais en suis au stade de débutant pour chacun. Je vais devoir continuer de m'entraîner chaque jour (priorité au violon et à la guitare, pour le moment). Mais j'essaie d'équilibrer le temps consacré à mes différentes activités.
"Tu peux installer le logiciel beep (si ce n'est déjà fait), mettre le son à fond ouvrir un terminal et faire:
beep -f 20 -l 4000"
Je n'entends rien. Voilà ce que ça donne :
asfreeas@asfreeas-K70IO:~$ beep -f 20 -l 4000
asfreeas@asfreeas-K70IO:~$
La deuxième ligne apparaît après 5 secondes où je n'entends rien, ne sens rien, ne vois rien de spécial. Même si je mets beep -f 200 -l 4000 .
"ce genre de microphones à une petite fiche de type jack (3,5mm) très peu encombrante, il faut donc avoir un câble qui va de cet type de fiche au type de fiche de la carte son, comme ce type de câble entre deux fiche différente doit être rare, on peut soit acheter des adaptateur pour utiliser un câble plus classique, soit faire ce câble soi-même en achetant câble et fiches séparément, il faut évidemment un fer à soudé et un minimum de documentation sur les fiches en questions "
La carte son qui est à l'intérieur de l'ordinateur portable ???
Je n'ai jamais utilisé de fer à souder ni manipulé de fils dans les câbles (même pas pour des lampes). Ni de batteries (instrument).
Bon, a priori, j'ai dans l'idée qu'une carte son est un composant à l'intérieur de l'ordinateur, mais peut-être que je me trompe. Donc, je me dis qu'il y en a déjà une à l'intérieur de chaque ordinateur portable. Alors quand je lis :
"Si tu optes pour des microphones spécialisés par instrument, renseignes-toi, avant d'acheter une carte son,"
Veux-tu dire que je remplace la carte son qui y est par la nouvelle carte son que j'aurais achetée ?
Ou s'agit-il d'un périphérique extérieur ?
Bon, j'achèterais bien un métronome que l'on peut recharger à l'aide d'un câble relié à l'ordinateur (au lieu de piles). Une de ces petites machines électroniques qui peut servir de métronome, d'accordeur.
En tout cas, merci pour toutes ces réponses, même s'il y aura encore d'autres questions.
Bon, je viens de penser que je peux aussi reposer certaines questions sur un forum dont les membres aiment le violon.
Puisque tu es débutant, tout d'abord, avant de te lancer dans des achats inutile, attends d'être sûr que tu va continuer à jouer avec tel ou tel instrument (il y a des gens comme moi qui veulent toujours apprendre à jouer de plus d'instrument et d'autres qui en essayent plusieurs, puis en trouvent un qu'ils adorent et laissent tomber les autres, il y a enfin des gens qui laisse tomber la musique au bout d'un certain temps). En suite profite de ce temps pour te renseigner sur le matériel dont tu as besoin, plus tu t'y connaîtra, plus tu saura ce que tu veux et tu pourra ainsi dénicher les bonnes occasions (que ce soit vraiment de l'occasion ou des promotions sur tel ou tel articles).
Pour ce qui est d'enregistrer avec un ordinateur avec l'entrée audio d'origine et un microphone, oui, c'est tout à fait possible, tu peux même commencer par acheter un microphone "à tout faire" qui te permettra de débuter pour l'enregistrement en investissant pas beaucoup (de 100 à 150 euro, je pense), après, tu peux acheter des microphones plus spécialisé (et ton premier microphone ne te servira plus ou il servira à enregistrer ce pour quoi tu n'as pas encore de microphone spécialisé, ce qui peut inclure l'instrument d'une connaissance avec qui tu viens de composer un morceau comme ça pour t'amuser). Pour ça, il ne doit pas exister de câble qui vont directement du microphone à l'entrée de ton ordinateur, je te parlais d'en souder un toi-même, mais si tu n'a pas envie, tu peux tout aussi bien utiliser un adaptateur de tel format de fiche à tel format de fiche, plus il y a d'adaptateur, plus tu as de légère perte de son, mais avec un adaptateur, la perte de son sera négligeable.
Plus tard, tu pourra envisager d'enregistrer en plusieurs piste, si je reprend l'exemple du copain avec qui tu as composé un morceau, tu préférera peut-être enregistrer avec lui que l'un de vous enregistrer et l'autre en suite superpose sa piste (ce qui est mieux techniquement, mais moins "sympathique"), ou alors, tu pourrais vouloir enregistrer un instrument qui a besoin de plusieurs microphones. Dans ces cas, tu aura besoin de plusieurs pistes et pour ça, il y a des cartes son externe (comme il y a des disques durs externes, il y a aussi des cartes son externe, à partir d'un certain nombre de pistes, ou pour utiliser certains type de fiches et donc ne plus avoir besoin d'adaptateur ou de câble soudé par soi-même, la carte son est tout simplement trop grosse pour pouvoir rentrer dans un ordinateur, d'où l'utilisation de carte son externe, il n'est donc pas question de remplacer ta carte son, mais d'en ajouter une qui permet d'enregistrer un certain nombre de pistes en même temps). Le problème de ces cartes son externes, c'est que ce n'est souvent pas libre, il faut donc bien se renseigner, ne fusse que sur la compatibilité avec un système libre si on en trouve aucune comme on veut qui soit libre).
Concernant les logiciel, l'avantage d'une distribution comme Musix, c'est que tout les logiciels nécessaire sont déjà installé, on a pas besoin de se casser la tête à savoir ce qu'on doit installer pour pouvoir enregistrer.
Faire un fichier flac ou enregistrer sur un disque compacte, ça revient au même au niveau des limitation de fréquence échantillonnage, je pense que les compacte disques sont plus limité (à vérifier), mais de toute façon, le principe est d'enregistré avec le format par défaut du logiciel d'enregistrement, mettre la plus grande fréquence d'échantillonnage possible avec ce format et en suite, une fois que l'enregistrement est fini et syntonisé, exporté vers la fréquence d'échantillonnage la meilleurs du support quel qu'il soit, en l’occurrence flac.
Quand au passe haut et au passe bas, je ne sais pas trop ce qu'il en est pour flac, ce que je sais, c'est que ça se fera lors de l'exportation vers ce format et que ce qui se passera alors sera totalement opaque pour toi, à moins chercher ce qu'il en est dans la norme du format flac, voir dans un document de vulgarisation sur le sujet.
Au passage, très bon choix de licence!
Je ne sais pas ce qui se passe avec beep, je n'arrive plus à le faire marcher (en 2010, sous Ubuntu, je me souviens que ça marchait sans problème), j'ai essayé sur plusieurs distributions et deux ordinateurs, pas moyen de le faire marcher, il faudrait creuser la question. En fait, il fonctionne bien le temps qu'on lui demande, mais il ne produit aucun son.
Concernant les métronomes, je pense que c'est mieux si on en a un (électronique) externe qui sert à donner le rythme à la machine, je sais que c'était indispensable dans les premiers studio d'enregistrement digital à prix abordable (comme celui où j'ai enregistré il y a une quinzaine d'année), mais je ne sais pas si c'est toujours utile actuellement. Sinon, les programmes d'enregistrement ont en général un métronome intégré, à priori, on doit même pouvoir le programmer (avec un bip plus aiguë au premier temps de la mesure et programmer pour que ce soi x mesure en autant de temps, y autres mesures en autant de temps et ainsi de suite). Je fais ça avec mon vieux matériel désuet alors, je ne sais pas trop ce qu'il est possible de faire maintenant.
Sur les forums spécialisé, il faudra ignorer le fait qu'ils résonnent souvent en logiciel propriétaire, mais sinon, c'est sûr que ce sera certainement bien plus intéressant concernant ce que tu veux faire précisément.
Il n'y a aucune perte avec FLAC. De la même façon qu'il n'y a aucune perte avec ZIP. Simplement FLAC considère que ce qui est compressé est de la musique là où ZIP ne suppose rien. Du coup, sur de la musique, FLAC permet en générale d'obtenir un meilleur taux de compression.
Je n'ai jamais dit le contraire. Je parlais de qualité d'échantillonnage (c'est un autre sujet donc), plus l'échantillonnage est à un nombre de hertz élevé, meilleurs est la qualité, comme je l'ai déjà dit, c'est exactement comme une image vectorielle, plus il y a de points, plus l'image est précise, chaque support à sa limite à ce niveau (c'est obligatoire, on ne peut pas avoir une infinité de point), je dis juste que je ne sais pas où ce situe cette limité (égale à celle des compacte disque ou meilleurs, équivalente à celle du format par défaut utilisé par le logiciel d'enregistrement ou moindre, en tout cas, le logiciel serait mal conçu s'il n'utilisait pas le format qui permet la plus grande qualité d'échantillonnage possible), donc, c'est au mieux égal et donc si c'est égal, ça ne change rien d'utiliser le format par défaut, par contre, si la qualité d'échantillonnage de flac est moindre, c'est mieux de faire comme je le conseillait, soit d'enregistrer tout avec le format par défaut et de ne faire que finaliser en flac, exactement comme on le fait avec les disques compactes, donc, puisque dans un cas, ça ne change rien et dans l'autre, c'est mieux, autant de toute façon faire comme ça.
Salut,
Je fait un peu d'enregistrement chez moi, en effet, il faut y passer du temps. Je te conseille vivement de regarder
http://www.linuxmao.org/Accueil.
http://musique-libre.org/?tag=linuxmao
Pour enregistrer, j'utilise souvent le logiciel Ardour qui est équivalent à Cubase.
Pour les latences, il faut un kernel spécifique, lowlatency ou realtime.
Une distribution très adaptée au studio est TangoStudio
http://tangostudio.tuxfamily.org/
Maintenant basée sur Debian avec un bureau MATE.
Elle va installer des pilotes propriétaires si besoin pour le matériel, mais les dépôts propriétaires ne seront pas activés au démarrage après une installation toute fraîche.
Sinon, j'ai essayer Musix, attention, il ne faut pas séparer la partition /home à l'installation, sinon on a des problèmes. Il n'y a qu'une version 32 bits et quelques bugs encore, pas évident, mais par contre, elle propose des démos très sympas pour découvrir les possibilités de studio.
Bon courage.
Si on a un veille enregistrement jamais fini (à cause de la parte d'un disque dure, mais j'ai toujours des sauvegarde) fait sur ce logiciel propriétaire dont Ardour est l'équivalent, est-ce qu'il est possible de récupérer les données de l'enregistrement sous format propriétaire donc avec Ardour?
Merci, je vais regarder ces liens.
Une petite précision sur le post plus haut. Je ne pense pas qu'un kernel realtime soit tout à fait nécessaire pour l'enregistrement, à des niveaux modestes en tout cas. Certaines distributions orientées audio s'en passent d'ailleurs (io Gnu/linux par exemple).
En ce qui me concerne j'ai simplement activé le temps réel pour les applications : http://www.linuxmao.org/PAM. Et en plus de ça, comme j'avais de la latence quand j'étais sur windows, j'ai une petite carte son firewire, avec juste deux entrées et deux sorties qui faisait déjà très bien son travail.
A ce propos, existe-t-il déjà une version prédigérée du noyau linux libre en rt ? Parce-que patcher ça moi-même...
Réponse à moi-même : https://trisquel.info/fr/forum/linux-libre-rt-real-time-ppa-launched
Si on peut activer le temps réel, pourquoi s'en passer puisque c'est de toute façon mieux pour l'enregistrement?
Bonjour et merci à Shokin pour la question initiale, et merci à Substance2004 pour la réponse première qui en a suivi, notemment les explications et lien vers le site "comparatif-audio", pour la petite histoire, j'ai fait table rase du téléchargement illégal, tous les disques sont percés, et sûrement recyclés à l'heure qu'il est. Maintenant, je sauvegarde ce qui m'appartient, ce qui est donc acquis légalement. J'aime le format .ogg en 320, pour mon oreille (abîmée par des sonos de fou furieux), c'est suffisant. Nouveau sur Trisquel 6.0.1 depuis quelques mois (très peu), j'adhère, j'y suis paisible. Bonne continuation à vous, et bon Noël.
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